Timeslide
Auteur : Craby.
Adresse : Craby@Marmotte.net.
Genre: Aventure et Romance.
Saison : Le plus tard possible.
Résumé : "Timeslide" veut dire
Glissement Temporel. Comme résumé cela devrait suffire (Suite des "Aléas
du Quotidien".).
Spolier : 1969, L’Enfant des Dieux, La Tombe,
Ascension et pas mal d’autre.
©
: Pas à moi, gagne pas de fric avec et
je l’ai fait juste pour me faire plaisir ainsi qu’à ce qu’ils le liront.
N’hésitez pas à m’envoyer un message pour me donner votre avis ou de
laisser un commentaire sur le site (ou les deux).
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Eglise de Notre-Dame de St Honoré :
- Vous pouvez embrasser la marié.
Daniel ne se fit pas prier pour embrassé la nouvelle madame
Janet Jackson. Les Invités applaudissent, Cassandra hurle de Joie, quant à Sam
l’émotion et la joie pour sa meilleure amie lui font monter les larmes aux
yeux. Jack se contente d’imiter Teal’C en restant stoïque. Mais son regard
est rempli de joie et même d’une certaine fierté fraternelle. Le général
Hammond se laisse prendre par la gaieté de Cassandra et se lève de son siége
et applaudis à tous vas. Même Natalia, oublia un instant sa rigueur de soldat
russe pour exprimer sa joie.
Quelque rang derrière seul une poignée de personne n’applaudissent
pas. Les Tok’Ra avaient du mal à saisir le sens du geste de frappé ses mains
l’une contre l’autre. K’lyn se penche ver Jacob Carter :
- Selmac qu’est ce…
- Plus tard, K’lyn, plus tard.
Au bout de la trentième interrogation sur les raisons du
pourquoi et du comment de chaque chose pendant la cérémonie, Jacob commence à
être lassé de répondre. Déjà que l’un d’eux a faillit se lever quant le
prêtre à demander si quelqu’un avait une raison pour que ce mariage ne se
fasse pas…
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Un restaurant, un peu plus tard :
Jack se lève :
- Mesdames et Messieurs, j’aimerais dire un mot. Comme je suis l’un des
témoins je me dois de faire un discours. N’étant pas très doué pour
cela, se sera cour… de toute façon je ne peux pas compter sur l’autre
témoin, il est encore moins loquace que moi… Hein, Teal’C ?
Le Jaffa leva un sourcil pour feindre l’étonnement.
Quelque rire se firent entendre. Il faut dire que la plus part des invités ne
connaissait pas Teal’C.
- Je me contenterais de dire qu’avant nous avions qu’un seul docteur
Jackson, et c’était déjà une calamité…
- Merci Jack.
- Il n’y a pas de quoi Daniel… Maintenant nous en avons deux… Pauvre
de nous… bon d’accord pauvre de moi, surtout... Plus
sérieusement ; comme beaucoup le savent, Daniel voyage beaucoup. Il a
cherché pendant des années cette perle rare qui le comblerait de bonheur.
Il à fallut attendre ces derniers mois pour qu’il s’aperçoive que l’objet
de tous ses désirs était la jolie rouquine qui passé sont temps à lui
planté des aiguilles dans… enfin bref… L’important est que maintenant
nous en sommes là et c’est tous ce qui compte. Janet, Daniel, Je vous
souhaite beaucoup de bonheur et plein de "docteur Jackson junior".
Jack se rassit sous les applaudissements de son auditoire.
- Jolis discours, Jack.
- Merci Daniel.
- C’était très bien, mon chéri.
- Merci Sammy
- Ho, vous en êtes au petit nom ? Bon signe ça. C’est pour quant
vous deux ?
- Daniel ! Jack lui lança un de ses regards noirs.
- Daniel ! Janet avait un ton réprobateur.
- Oups, désolé. Dit-il avec un air faussement gêné.
- Ca ne fait rien Janet. Repris Sam. Pour répondre au curieux de
service : Plus tôt qu’il ne le pense.
- Voilà, satisfait ? Ironisa jack
Daniel ne répondit rien. Il eut un petit sourire en coin. Qu’il
cacha en prenant un vers et en le portant à sa bouche. Jack ne semblait pas
réaliser ce que Sam venez de dire.
- Même le jour de votre mariage. C’est plus fort que vous….
Dans la tête de Jack, Lamtash, lui fit remarquer qu’il
venait de rater quelque chose. O’Neill eu un "tilt". Il tourna la
tête ver Sam :
- Plus tôt qu’il ne le pense ?
Sam lui fit un de ses sourires qu’elle fait pour
dire : " désolé ".
Juste à coté Jacob carter et George Hammond
discutaient :
- Ils ont l’aire de bien s’entendre
Les deux Généraux regardaient, à quelque place de là,
Natalia Romanov en pleine discutions avec le Tok’Ra K’lyn.
- T’en mieux. Que se soit K’lyn ou les autres, se sont de formidables
amis, mais je dois avouer que leurs questions incessantes devenaient
lassantes. Je passe la main volontiers.
- Je suppose que nous devons être pareils quand nous allons sur d’autres
planètes : avides de connaissances.
- Sans doute… En parlants de nos explorateurs qu’est ce qui peuvent bien
se raconter ?
Bien que situer à quelque place d’écart. Ils leur
étaient impossibles d’entendre ce qui se passe à causse du brouhaha. Jacob
et Hammond devaient se contenter de l’image, sans le son :
Les deux tourtereaux c’était reproché l’un de l’autre.
Leur chaise cote à cote. Sam était appuyé contre Jack. Ils se tenaient les
mains. Leur conversation semblait très sérieuse.
Jack déboutonna le col de sa chemise et retira ses plaques
militaires.
- Il les garde tout le temps sur lui ? S’étonna George.
- Il faut croire.
Il ouvrit la chaîne et y retira quelque chose. A première
vue cela ne semblé pas être une plaque, mais les deux hommes ne réussissait
pas à voir ce que c’était de là où ils étaient. Ils ne comprirent que
quant Jack passa la bague à l’annulaire gauche de Sam.
Ils se regardèrent avec étonnement.
- Bong sans !
- C’est pas vrai !
- Tu me dois Cinquante billets, Jacob.
- J’étais sur qu’ils attendraient le premier slow.
- Ils ne sont pas assez patient.
- Pas assez patient ? Après cinq ans ?
Ils regardèrent Sam et Jack s’embrasser. Daniel poussa un
" oui ! " suffisamment fort pour que tout le monde se
tourne ver lui. Janet lui fit comprendre qu’il valait mieux garder cela pour
eux, du moins pour l’instant. Après tout, c’était eux les héros du jour,
pas Sam et Jack…
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Trois semaine plus tard, salle de Briefing :
- Je sais, je sais, je suis en retard, …
Jack s’aperçut que seul les membres féminins de son
équipe étaient là. Assises l’une à coté de l’autre elles regardaient
toutes les deux, ce qui semblé être un magasine ou une revue de presse. A la
vue de Jack, Sam ferma rapidement la revue et la mis hors de sa vue sous la
table.
- Les autres ne son pas là ? Et je peux s’avoir ce que vous
complotez toutes les deux ?
- Coucou, toi.
- Bonjours, mon Colonel. Vous allez bien ?
- Ne cherchez pas à noyer le poisson mesdames. Qu’est ce que vous
mijotez ?
- Rien, mon Colonel. Juste des trucs de femmes.
- C’est ça, des trucs de femmes. Confirma Sam.
- Lieutenant, répondez à votre Colonel.
- Je ne peux pas mon Colonel.
- Vous ne pouvez pas ?
- Non, mon Colonel.
- Vous désobéissez à votre Colonel. Vous êtes bon pour la cour martiale
Lieutenant. Dit-il sur le ton de la plaisanterie.
- Qu’il en soit ainsi, mon Colonel. Je subirais votre courroux et
connaîtrais l’hospitalité des prisons américaine.
Elle avait dit tous cela sur un air mélodramatique très
exagéré.
- Que de dévotion, Lieutenant. Que nous veut un tel sacrifice ?
- L’amitié, mon Colonel. Envers votre fiancé.
Sam, qui affichait un grand sourire depuis que les deux
militaires avaient commencé leur petite comédie, fut flatté des paroles de
Natalia.
- Dans ce cas la, Lieutenant Romanov, vous échappé à la cour martiale.
Tous en discutant, Jack s’était approché des deux dames.
Il se tenait maintenant entre leur siéges. D’un mouvement rapide il attrapa
le magasine des mains de Sam.
Natalia tenta bien de l’intercepté, mais ne fut pas assez
rapide. O’Neill fit un pas en arrière et regarda le magasine de plus prés.
On put lire la surprise sur son visage.
Une voie bien connue se fit alors entendre :
- Colonel O’Neill, vous avez des lectures bien particulières.
Le Général Hammond se tenait dans l’entrée de la salle.
Teal’C et Daniel le suivait. A l’exception du Jaffa, ils avaient tous l’air
amusé par le sujet de la revue que tenait Jack : "Catalogue de
Lingerie Féminine - Eté 2002".
Jack, embarrassé, se débarrassa rapidement du catalogue en
le posant devant Sam. Celle ci devenue rouge pivoine, s’empressa de le
re-dissimulé sous la table. Natalia avait du mal à garder son sérieux.
Daniel, Teal’C et le Général rentrèrent dans la salle et s’essayèrent à
leur place. Daniel regardait Jack avec un petit sourire, le Général gardait
son sérieux, et Teal’C semblait ne pas saisir, comme d’habitude, l’humour
de la situation. Jack s’assit :
- Pas un mot Daniel !
- Mais je n’ai rien dit.
- Alors ne commencez pas.
- Docteur Carter, en quoi vos lectures sont si amusantes ? Interrogea
Teal’C
- Je crois que Sam est entrain de choisir sa tenue pour sa lune de miel,
Teal’C. répondit Daniel.
- Et en quoi ceci est t’il amusant ?
- C’est un peut compliquer Teal’C, je vous expliquerai plus tard.
- Je vous en remercie, Daniel Jackson.
- En parlant de lune de miel : Daniel, Paris, c’est comment ?
- Une très belle ville. Mais deux semaine c’est un peut cour pour tout
voir.
- Messieurs, je crois que le Général à quelque chose à nous dire.
- Merci, Lieutenant.
- Désolé mon Général. Nous vous écoutons. Rajouta Jack.
Les cinq membres de SG-1 firent face à leur chef.
- Je vais vous faire écouter un enregistrement qui à pour source une radio
pirate que l’on peut entendre dans la région de Washington D.C..
Le Général activa un magnétophone et la voie d’un homme
se fit entendre :
- …Et quant ils seront là, nous serons en paix avec nous même. Plus de
guerre, plus de maladie, plus de pauvreté. Grâce à leurs sciences et
leurs connaissances, ils amèneront la paix et l’harmonie sur terre. Ils
arriveront bientôt. Ils non pas de nom, du moins ils ne me l’on pas
donné. Je les appelle les Dieux de l’Espace, parce que seul un dieu peut
accomplir de tel miracle. Ils arrivent bientôt. Ils viendront par le cercle
de métal. Il est bientôt prés. Plus que quelque jour et ils seront là.
Rendez-vous bientôt sur les ondes pour en s’avoir plus. C’était la
Voie de l’Espace, la voie de la vérité…
Il y eut un "blanc". Les membres de l’assemblé
se regardaient sans rien dire. Jack cassa ce silence :
Daniel retira ses lunettes et les essuya :
- Cercle de fer ?
- Général Hammond, est ce que cela signifie qu’un civil de votre peuple
aurait pris connaissance de l’existence de la porte des étoiles ?
- Il semble, Teal’C.
- Heureusement que c’est un projet top secret, par ce que sinon qu’est
ce ça serait. Ironisa Jack.
- Attendez, ce type à dit qu’il construisait une porte des
étoiles ? Mais comment ? Je croyais que nous n’avions ni les
connaissances ni les matières nécessaires.
Si Natalia semblait étonné, voir affolé. Les autres
gardaient leur calme et semblaient même "blasé", en particulier
Jack.
- C’est déjà arrivé… commença Jack
- Comment cela, mon Colonel ?
- Un flirt à Sam en avait construit une. Rajouta Daniel.
- Daniel ! S’écrièrent Sam et Jack.
- Docteur Jackson, je vous en pris.
- Désolé, Général.
- Quelqu’un pourrait-il m’expliquer ?
- Je croyais que vous aviez consulté tous les dossiers de nos missions
précédentes ?
- J’ai du raté un épisode, mon Colonel.
- Pour résumer, le docteur Carter a fait connaissance d’un extraterrestre
très évolué qui à construit avec des matériaux de la terre une porte
des étoiles artisanale.
- Merci Teal’C.
- De rien, Lieutenant.
- Vous consulterez le rapport plus tard, Lieutenant.
- Bien, mon général
- Mais ce n’était pas humain, et là nous parlons d’un gars bien de
chez nous. Non ?
- En effet, Colonel.
Le Général se leva et activa l’écran qui se trouvait
derrière lui. Deux photos apparurent représentant un homme de face puis de
profile. Il avait tout du hippie des années soixante : cheveux long
ébouriffés, mal rasé. Il ne lui manquait plus que la fleur dans les cheveux.
- Nous avons pu remonter la source des émissions de la radio. Elles
viennent d’une maison de la banlieue de Washington qui appartient à cet
homme : William Barrington. Il possède un casier judiciaire :
incitation à la violence, résistance aux forces de l’ordre, violation de
propriété privée, destruction de bien public et privée…C’est un
militant écologiste plutôt actif et virulent.
- Il à la tête de l’emploi.
- C’est vrai qu’il à une tête d’illuminé. Rajouta Daniel.
- Est-on sur qu’il construit une porte des étoiles ? C’est peut
être juste une coïncidence.
- Sauf qu’il a réussit à se procurer du titane et tout les composants
nécessaires qu’avait utilisé l’inviter du docteur Carter pour
construire sa porte des étoiles. Mais vue les quantités, nous pouvons nous
attendre à une porte bien plus grande.
- Attendez. J’aimerais s’avoir ou se type à pu se procurer du titane.
Cela ne se trouve pas dans les supermarchés du coin.
- Internet, Jack. On peut acheter n’importe quoi sur le Net. Expliqua
Daniel.
- Même des hélicoptères de combat de l’armée russe… Rajouta Natalia.
- L’appellation Dieux de l’Espace me fait penser aux Goa’uld.
- Je suis d’accord avec vous Teal’C, c’est pour cela que j’envois
SG-1 enquêter sur cet homme pour s’avoir s’il est en contacte avec des
Goa’uld ou une autre race d’extra-terrestre. Et si c’est le cas, quel
est le but de ces extra-terrestres.
- Pourquoi nous et pas des spécialistes de l’espionnage ? Si encore
nous étions sur qu’il construit une porte.
- Par ce qu’il y a de forte chance que se soit le cas et que je ne veux
pas qu’elle tombe dans les mains du NID ou d’autre personne du même
genre.
- Vue comme cela…
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Deux jour plus tard, banlieue de Washington D.C. :
Toutes l’équipe de SG-1 se trouver dans un van banalisé
garé sur le bord de la route qui longe la maison de William Barington..
Derrière les vitres teintées Teal’C regardait à la jumelle espérant
remarquer quoi que ce soit qu’il prouverait la présence d’activité non
terrienne.
- Alors Teal’C ?
- Rien du tout O’Neill. Pas plus que depuis que vous me l’avez demandé
il y a cinq minutes.
- Désolé, je commence à trouvé le temps long.
- C’est vrai qu’à cinq là dedans, nous étouffons.
- Je sais Daniel, mais qu’est ce que vous voulez faire. Ce type ne sort
jamais de chez lui, il se fait tout livrer. Alors comment voulez-vous que
nous allions voir ce qui se trame la dedans ?
- Nous n’avons qu’à aller lui demander ce qu’il fabrique…
Sam avait dit cela sur le ton de la plaisanterie. Daniel et
Jack la regardèrent, se regardèrent, la re-regardèrent et en cœur…
- Adopté !
- Teal’C et Romanov vous restez là, vous ne penserez pas facilement
inaperçu, vous nous couvrirez. Sam, Daniel et moi, nous tentons une
approche directe.
- Jack, tu n’es pas sérieux ?
- Je pense qu’il l’est, docteur Carter.
- Et que vas tu lui dire ?
- Nous allons improviser.
- Nous trouverons bien.
- C’est sur.
- Comme toujours…
Sam n’insista pas. Elle s’avait que ces deux la ne
changeraient pas d’avis.
Le Docteur Jackson ouvrit la porte coulissante du van et les
trois membres de SG-1, en civile, sortirent du véhicule. Ils prirent la
direction de la maison.
Arrivé devant le pavillon. Jack frappa à la porte. Au bout
de quelque instant, celle ci s’entrouvrit pour laisser apparaître le visage
du propriétaire des lieux :
- William Barrington. ? Demanda Jack.
- Ca dépend. Qui le demande ?
Jack se tourna ver ses deux compagnons en espérant que ceux
ci l’aide. Sam leva les mains devant elle pour lui faire comprendre qu’il
avait voulu venir ici et qu’il devait se débrouiller tout seul. Daniel ajusta
ses lunettes et repris :
- Et bien, je suis Daniel, elle c’est Sam et lui Jack, nous sommes des…
- …fan. Termina Jack.
- De votre émission, s’empressa de rajouter Daniel.
- En faite nous aimerions bien pouvoir rencontrer les… dieux de l’espace.
- Mais… Vous… vous devez vous tromper. Je ne suis pas celui que vous
chercher, il y à erreur.
Et il referma la porte.
- Bon pour l’approche directe, je crois que c’est raté.
- En tout cas ce n’est pas un Goa’uld. Remarqua Sam. Il n’a pas de
symbiote.
Mais Daniel ne se découragea pas. Il refrappa à la porte.
- Daniel, je ne pense pas qu’il répondra.
- Sam, à raison. Ou alors il…
La porte s’entrouvrit à nouveau.
- …est vraiment dingue.
- Qu’est ce que vous voulez ? Je vous ai dit que je ne suis pas celui
que vous cherchez.
- Ecoutez Mr Barrington…
- Je ne suis pas William Barington.
- D’en ce cas la pouvez vous me donner votre nom ?
- Smith.
- Très bien Mr "Smith". Sam ici présente et très doué en…
plein de chose, et grâce à elle nous avons pu s’avoir que c’était
vous qui émettiez pour la… heu… Voie de l’Espace…
- Vous êtes du F.B.I. ? De la C.I.A. ?
- Non, nous sommes juste des… fans.
- Nous aimerions bien rencontrer les petit bonhomme vert. Rajouta Jack
- Ils ne sont pas vert…
- Ha ! Nous progressons.
Conscient de sa bourde. L’homme commença à paniquer.
- Vous êtes de la N.S.A. ! C’est cela ?! A moins que… vous
soyez les Hommes en Noir ? C’est cela ? Hein !?
- Mais non, calmez-vous…
Jack commencé à perdre patiente :
- Nous, nous serions plutôt les hommes en vert. Ironisât-il.
Barrington ne semblait pas saisir la plaisanterie de Jack.
Derrière sa porte il dévisageait les trois visiteurs. De grosse goutte sueur
apparue sur son front. Jack excédé, pris la parole :
- Ecoutez-moi, "Will", si je vous dis que nous sommes des
extraterrestres et que nous voulons juste s’avoir si ceux que vous allez
amener sont des gentils, comme nous, ou bien des méchants. Qu’est ce que
vous me répondez ?
- Que c’est l’histoire la plus stupide que l’on met raconté. D’ailleurs
qui croirait…
- Jack je ne pense pas que…
Le Colonel O’Neill ne laissa pas finir sa phrase à Daniel.
Ses yeux s’illuminèrent.
- La prochaine fois, peut-être ? Murmura Daniel, pour lui même.
- …que nous sommes des extra-terrestres ? Demanda Lamtash.
L’homme regarda le Tok’Ra la bouche grande ouverte :
- Vous faites ça comment ?
- C’est un peut compliqué.
Il ouvrit la porte pour pouvoir mieux voir
- Et vous aussi vous êtes… ?
Lamtash se tourna vers Sam et lui fit un signe de la tête.
Elle soupira, puis baissa la tête. Quant elle la releva ses yeux se mirent à
luire.
- Géant… Et vous ? Il désigna Daniel.
- Lui, c’est l’élément cent pour cent humain de notre groupe. Expliqua
Anis.
- Vous avez une drôle de voie.
- Hum ! Ne pourrions nous pas discuter ailleurs qu’ici ? Nous
aimerions rester discrets.
- Ho ! Pardon. Bien sure, entrez.
Il ouvrit la porte en grand. SG-1 rentra.
- Ils ne m’avaient pas parlé d’autre visiteur d’autre monde.
- "Ils" ? Vous parlez des Voies ? Demanda Anis.
- Bien sure. Je les entends dans ma tête. Ils m’ont dit comment
construire le cercle de fer.
- Nous pouvons le voir ?
- Bien sur, il est à la cave. Venez.
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Au même moment, dans le Van :
- Ils sont rentrés. J’ai cru qu’ils ne réussiraient pas. Il a vraiment
une tête d’illuminé ce type.
Teal’C ne répondit pas. Il semblait être occupé à
regarder avec ses jumelles une voiture garée dans la rue.
- Un problème ?
- Peut être… Le véhicule noir qui stationne un peut plus loin…
- Oui ?
- Il est passé trois fois devant nous et vient juste de se garer au moment
ou le Colonel et les docteurs Jackson et Carter ont pénétré dans la
demeure.
- Et visiblement, vous ne croyez pas à une coïncidence ?
- En effet.
Le véhicule en question était une voiture de tourisme
noir avec les vitres noir...
- Vous pensez la même chose que moi ?
- Je le crois…
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Dans le sous-sol de la maison :
Nos trois amis étaient devant un cercle de métal blanc d’environ
deux mètres de rayon. Il était relier par toute une collection de files à
diverses machines de conception que l’on pouvait qualifier d’étrange. La
pièce de taille réduite était remplie d’objet divers : du simple
grille-pain au composant électronique les plus complexes, le tout dans un
désordre non descriptible.
- Et, ça marche ce truc ? Demanda O’Neill.
- Bien sur qu’il marche. Enfin presque il n’est pas encore fini. Mais je
peux le mètre en marche si vous voulez. Vous voulez le voir
fonctionner ?
- Je vous en pris…
L’homme s’approcha de ce qui devait être à l’origine
un disjoncteur et abaissa une manette. Il y eut des étincelles dans toute la
pièce, une baisse de tentions de la lumière. Un bourdonnement se fit entendre
et sans rien prévoir un vortex se forma qui manqua de toucher nos trois amis s’ils
n’avaient pas eux la bonne idée de reculer avant la mise en marche de la
machine.
- J’ai l’impression de déjà vue. Remarqua Daniel.
- Quelqu’un peut-il m’expliquer comment il à fait ?
- Et bien…
- En moins de cinquante mots, Sam.
- Je n’en ai pas la moindre idée.
- C’est du condensé…
- Rien que réussir à le faire marcher rien qu’en le branchant sur le
secteur c’est…
Sam fut interrompu par William Barrington :
- Yaaaaaou ! Hahahaha ! Ca marche ! Ca marche ! Vous
avez vu ! Yaouuu !
- Complètement cinglé. Constata Jack.
- Les plus grands génies sont des incompris. Fit remarquer Daniel.
- Par ce que vous croyez que c’est un génie, vous ?
- Ben…
Le docteur Carter observait l’horizon bleu. Fascinait, elle
se parlait à elle-même, ou à Anis, débitant toutes un panel de théories que
nul ici ne comprenait à part elle.
Trop occupé par la pseudo-porte des étoiles, personne ne
fit attention à ce qui se passé derrière eux. Une voie les rappela à l’ordre :
- Bonjours, messieurs-dame.
Tout le monde se retourna. Dans l’entrée de la cave se
trouvait trois "hommes en noir". Chacun était armé d’un pistolet
automatique avec les quels ils menaçaient SG-1 et William Barrigton. L’homme
du milieu pris la parole :
- Que personne ne bouge. Levez tous les mains biens en vues. En particulier
vous Colonel O’Neill.
- Tiens, nos amis du NID, cela faisait longtemps.
- Reculez, Colonel O’Neill et poser vos armes à terre, tous les trois.
- Des Hommes en noir ! Je le savais ! Ils sont partout !
- Du calme monsieur Barrigton, nous sommes des agents du gouvernement, nous
ne vous voulons aucun mal.
- Je sais qui vous êtes ! Vous allez détruire ma machine et m’éliminer
pour que personne ne sache la vérité !
Barrigton paniquait. Il était claire qu’il risquait de
faire une bêtise.
- Ne vous en faites pas pour la vérité, comme vous dite ; elle est
ailleurs…
- Alors celle la, même moi je n’aurais pas osé la faire.
- Vous vous sous-estimer, Jack.
- Merci, Daniel.
- De rien, Jack.
- Trêve de plaisanterie ! Remettez nous vos armes et suivez
nous !
- Je ne vous laisserai pas ma machine ! Pas question ! C’est un
engin de paix ! Pas de guerre !
- Votre arme, Colonel. Vous aussi docteur Carter, docteur Jackson.
Jack et Sam obtempérèrent et déposèrent leur pistolet
sur le sol.
- Docteur Jackson ?
- Désolé, j’ai rien sur moi.
- Docteur, ne me prenez pas pour plus stupide que je suis.
- Cela ne nous viendrait même pas à l’idée.
S’il n’avait pas eu de lunette de soleil, Jack aurait put
voir le "regard qui fusille" de l’homme en noir.
Daniel posa son zat’ parterre
- Bien, maintenant tout le monde va sortir en attendant que les personnes
compétentes viennent s’occuper de cet appareil.
- Non ! Je ne vous laisserais pas faire !
Barrington se précipita sur l’un des trois hommes. Celui
ci ne lui laissa pas arrivé jusqu'à lui. Il tira. Barrington s’écroula
mortellement blessé.
C’est à ce moment là, que Teal’C et Natalia
intervinrent : Deux tires de zat’ rendirent inconscient deux des
agresseurs. Le troisième, qui venait d’abattre le savant fou, voulu se
retourner, mais Jack lui sauta dessus. Il s’ensuivit une lutte sur le sol de
la cave. Jack essayant de désarmé son adversaire alors que celui ci tentait de
se servir de l’arme en question.
Daniel ramassa son zat’ mais comme le Jaffa et Le
Lieutenant Romanov il ne peut tirer. Sam, mu par un "réflexe de Tok’Ra"
sortie un gant Goa’uld de sa poche et le mis à sa main droite.
Alors que Teal’C s’apprêtait à aller aider O’Neill
dans son combat, ce qui devait arriver arriva : Une balle partie de l’arme
que se disputer les deux combattants et alla se loger dans la porte des étoiles
artisanales.
Jack, garce à la force que lui conférait son symbiote,
réussit à repousser l’homme en noir loin de lui, ce qui permit à ses quatre
partenaires d’agir. Sam utilisa son gant pour l’envoyer s’écrase contre
le mur et les trois autres utilisèrent leur zat’, ce qui eu pour résultat de
désintégrer le corps de l’homme en noir.
Daniel se pencha sur le corps de William, pour constater qu’il
était mort.
- Vous en avez mis du temps. Constata Jack.
- Désolé Colonel, mais les amis de ceux ci n’était pas disposer à nous
inviter à leur petite fête. Heureusement Teal’C et moi-même avons des
arguments… frappants.
Teal’C regarda la jeune Russe avec un regard d’incompréhension.
- C’était de l’humour Teal’C. Lui expliqua le Colonel.
- Et elle est aussi peut douer que vous, Jack. Rétorqua Daniel. Barrington
est mort, on ne peut plus rien pour lui.
- Messieurs, je pense qu’il serait sage de ne pas rester ici.
Sam regarder la pseudo-porte des étoiles d’un air inquiet.
Cela était sans doute du aux étincelles et éclairs bleus qui parcouraient
toute l’installation…
- Tout le monde sort d’ici ! Vite ! Ordonna Jack.
Mais avant que quiconque eut le temps de faire quoique ce
soit. La machine entra en surcharge et implosa. Cela provoqua une onde de choc
qui envoya toute notre belle équipe contre les murs de la cave, propulsant les
cinq membres de SG-1 au pays des rêves…
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Plus tard :
Natalia ouvrit péniblement les yeux. Un instant elle crut
avoir perdu l’usage de la vue car toute était noir autour d’elle. Mais elle
fut vite rassurée quant elle aperçu une faible lumière s’échapper d’une
lucarne dans ce qui lui semblait être le haut de la pièce. Elle tenta de se
remettre les idées en place et de se rappeler ce qui venait du lui
arriver : Visiblement la machine avait mal supporter la balle de l’arme
de l’agent du NID est avait explosé. Pour sa par elle semblé être en assez
bon état, mais les autres ?
- Colonel O’Neill ? Docteur Jackson ? Samantha ? Teal’C ?
Vous êtes là ?
Un gémissement se fit entendre non loin d’elle.
- Ho, ma tête… Je suis là, Natalia. Répondit Daniel. Jack ? Teal’C ?
Sam ?
- Je suis là, Daniel Jackson.
- Aïe… Quelqu’un à t’il relevait le numéro du camion qui m’est
rentré dedans ?… Sam est-ce que ça va ?
- J’ai connu mieux, mais je survivrai.
- Bon sang, on ne voit plus rien, les plombs ont du sauter. Constata Jack.
- Nous avons eu de la chance, la maison aurait pu nous tomber dessus ou nous
aurions pu mourir brûler par l’explosion…
- Sam…
- Désolé…
Un faisceau de lumière balaya l’obscurité. Avec l’aide
de sa lampe torche Teal’C passa en revu tous ses compagnons pour s’assurer
que tous étaient en bonne santé.
- Teal’C, puisque vous êtes équipé, trouvez nous la sortie que nous
sortions de là.
- J’y suis juste devant, O’Neill.
- Dans ce cas là, tout le monde dehors.
Les cinq membres de SG-1 se levèrent du sol froid avec
difficulté. Se guidant d’après la lumière du Jaffa, ils se dirigèrent ver
la sortie.
Teal’C, qui promenait sa lampe dans toutes les directions
remarqua quelque chose qui l’intrigua. Et bien que cela, en toute logique, ne
doive rien donner, il tenta d’allumer la lumière grâce à l’interrupteur
qui se trouvait à coté de lui. Et contre toute attente, la lumière fut.
D’abord surpris par la soudaine luminosité, il furent
encore plus surpris quand il s’aperçurent que la cave était entièrement
vide. Pas de machine, pas de composant électronique, rien sur les soles si ce n’est
que de la poussière. Pas trace non plus des corps des deux agents du NID et de
Barrington.
- Mais… ?
- Bon sang…
- Qu’est ce que ça veut dire… ?
- Ou est… ?
Tout le monde scrutait la pièce à la recherche d’éléments
familiers.
- Ils ont fait le ménage pendant que nous dormions ? Demanda Jack
- Combien de temps nous avons était inconscient ?
- Je ne sais pas Daniel, ma montre ne fonctionne plus.
- La mienne non plus. Constata Natalia
- Idem ici, rajouta Teal’C.
- Mais cela n’a pas de sens. Pourquoi tous faire disparaître en nous
laissant là ?
- Et en vie, surtout.
- Sortons d’ici, nous y verrons plus claire à la lumière du jour.
Et Jack se mis en route ver la sortie.
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En haut :
Arriver en haut des escaliers, SG-1 s’était retrouvée
dans une demeure entièrement vide. Tout comme la cave, tout avait disparut.
Plus aucune trace d’un quelconque habitant des lieux, ni de mobilier d’intérieur
ou d’une trace de l’existence de Barrington.
- Pourquoi je suis pas surpris ? Demanda Daniel.
- Nous avons du reste KO un bon bout de temps pour qu’ils puissent tout
faire disparaître aussi vite.
- Et ce n’est pas tout, Docteur Carter.
Teal’C était sorti sur le palier. De là il pouvait voir
la rue…
O’Neill alla rejoindre le Jaffa. De là, il put constater
tout comme Teal’C quelque instant auparavant que leur Van avait disparut.
- C’est pas vrai ! Hammond va me tuer pour ça !
- Je ne pense pas que le Général en arrive à de telle extrémité pour un
simple véhicule, O’Neill.
- Jack parlait au figuré, Teal’C.
- Il ne nous reste plus qu’à appeler la base pour que l’on vienne nous
chercher.
- Mon portable est mort, Jack.
- Pareille pour moi.
- Idem ici.
- Et bien il ne nous reste plus qu’à trouver une cabine téléphonique.
Quelqu’un à des jetons ?
- …
- D’accord, j’ai compris…
- Nous improvisons ?
- Exacte, Lieutenant. Allez, en avant les enfants.
Les cinq amis se mirent en marche à la recherche d’une
cabine téléphonique. Au bout de quelque temps, ils trouvèrent ce qu’ils
cherchaient dans le centre ville : un lot de trois cabines téléphonique.
- Bon, et maintenant ? Nous faisons la manche en espérant que quelqu’un
nous donne quelque pièce ?
- Cela ne sera pas nécessaire, Daniel. Vous allez voir. Vous quatre,
camoufler moi.
Jack rentra dans une des cabines et ses quatre amis se
placèrent autour de celle-ci pour que les passants ne puissent pas le voir.
- Je sens que ça va mal se terminer. Nous allons finir entre quatre murs
aux frais de l’état.
- J’ai entendu, Daniel…
Le docteur Jackson ne répondit rien. Il préféra laisser le
Colonel agir.
- Tu à l’intention de procéder comment ? Lui demanda Sam.
- Comme ça.
Jack sorti un zat’ et tira sur l’appareil. Celui-ci,
appréciant peut le traitement, "Tilta" et imita une machine à sous
en crachant tout ce qui contenait sur le sol. Jack n’eu plus qu’a ramassa
quelque pièce.
- Un vrai roi de la bricole, lui fit remarquer Daniel.
- Que voulez vous, je n’avais pas de couteau suisse sur moi.
Et Jack rentra dans une des deux autres cabines et composa
le numéro de la base.
- Base de Cheyenne Mountain, qui est à l’appareil ?
- O’Neill, pour Sierra Golf-1. Passez-moi Hammond, merci.
Un bref silence se fut
- Pardon ? Pouvez vous répéter ?
- Colonel Jack O’Neill de Sierra Golf-1. Je veux parler au Général
Hammond.
- Heu… un instant.
Un nouveau sans doute, pensa Jack…
De leur côté les autres attendaient patiemment.
- Daniel Jackson ?
- Oui, Teal’C ?
- Est ce normal ?
- De quoi ?
- Ceci.
Il montra au docteur Jackson une sale de cinéma situer juste
en face d’eux. Daniel ne comprit pas tout de suite ce que Teal’C voulait lui
montrer et puis…
Jack patienté toujours…
- Hammond, j’écoute.
- Général, c’est O’Neill. Nous avons un petit problème…
- Qui êtes vous ?
- O’Neill, mon Général. Colonel Jack O’Neill. Avec deux "L"
- Ecoutez, je ne sais pas qui vous êtes mais le Colonel O’Neill est
actuellement en mission…
- Je sais que je suis en mission, mon Général.
- … Et je doute que la ou il soit, il y ait le téléphone. Alors dite moi
tout de suite qui vous êtes et comment avez vous eux ces codes d’identifications ?
Avant que Jack ne puisse répondre, Daniel rentra
précipitamment dans la cabine et raccrocha.
- Je peux s’avoir à quoi vous jouez ?
- Je vous empêche de faire une bêtise.
- Quoi ?
- Regardez.
Il lui montra la salle de cinéma.
- Et ?
- Vous ne remarquez rien ?
- Si. Dix films à l’affiche. Ou voulez vous en venir, bon sang.
- Jack n’est pas un cinéphile Daniel. Fit remarque Sam.
- Ce que veut dire Daniel Jackson, c’est que tous c’est films ne devrez
pas être à l’affiche.
- Jack, tout ces filmes date d’y il y a cinq ou six ans.
Sure ceux Natalia arriva à petite foulée. Elle semblait
paniqué.
- J’ai demandé à cinq personnes différentes ; elles m’ont toutes
prises pour une folle, mais…
- Vous avez la date ?
- La date ? Quelle date ? Quelqu’un pourrait m’expliquer à la
fin ?!
- Nous sommes le 6 septembre… 1997.
- Ho bravo !
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Un peut plus tard.
SG-1 s’était réfugié dans un parc. Ils avaient
préféré s’éloigner de la cabine téléphonique de crainte que le Général
Hammond ait fait repérer l’appelle de Jack.
- Bon, premièrement, il faut s’avoir comment nous sommes arrivés…
maintenant.
- L’explosion ?
- Sans doute. Ce que nous avons pris pour une explosion devait être en fait
une extension subite et brève du vortex de la porte. Le faite que celle ci
ne soit pas finie ou bien qu’elle fut endommagée a eu pour résultat de
nous envoyer… maintenant. Expliqua Sam.
- Génial… Deuxièmement. Comment allons nous rentrer chez nous ?
- J’ai bien une théorie mais il nous faudrait une porte des étoiles, et
ce n’est même pas sur que cela soit possible, c’est du théorique.
- Comment cela ? Demanda Daniel.
- Et bien c’est une théorie sur les lois spatiaux-temporel comme quoi
chaque personne à chaque époque possède une sorte de marquage temporel
qui détermine sa période d’origine. En principe si nous franchissons la
porte des étoiles au moment d’une éruption solaire, celle ci nous
renvoiera dans notre époque.
- En principe ? Interrogea Natalia.
- En Théorie ? Rajouta Jack.
Sam fit un petit sourire pour dire
" désolé ".
- Mais pourquoi un orage solaire ? Demanda Daniel.
- Et bien…
- Haaaa ! Je ne crois pas que se soit vraiment utile, non ?
- Restez inculte… Bougonna Daniel dans sa barbe.
- Docteur Carter, il y a un problème à votre plan. Fit remarquer Teal’C.
Nous ignorons les prochains orage solaires.
- Pas vraiment Teal’C. Lui répondit Sam
- Elle les connaît… ironisa Jack.
- Quoi ?
- Je dis que Sam connaît les dates précise des orages solaires de ces…
cinquante dernières années ?
- Depuis 1946.
- 1946 ! Et vous avez ça où ?
- Tout est là dedans, Natalia.
Sam montra sa tête.
Jack regarda Sam avec une fierté non dissimulé.
- Vous remarquez juste maintenant que c’est une grosse tête,
Lieutenant ?
- Je dois avouer que je suis impressionné, mon Colonel. Vous êtes
prévoyante.
- Comme quoi c’est utile.
- Hum… Très bien, nous avons les dates des orages solaires mais, et pour
la porte, comment faisons nous ?
- Daniel touche un point sensible. Je nous vois mal arrivé à Cheyenne
Mountain en disant " coucou, nous venons du futur, nous ne faisons
que passer ".
- Exacte, il nous est impossible d’expliquer à nos doubles qui nous
sommes et d’où nous venons sans craindre de créer un paradoxe. Expliqua
Sam.
- Le fameux problème dit "du grand-père".
Tout le monde regarda Jack étonné.
- Vous connaisse cela, Jack ?
- Qu’est ce que vous croyez, Daniel, je ne passe pas tout mon temps à me
promener dans les couloirs de la base. Je me cultive aussi.
- En quoi vos aïeules sont-ils un problème ? demanda Teal’C.
- Jack faisait allusion à une théorie sur les problèmes des voyages
temporels : Imaginez que vous remontiez le temps, que vous rencontrez
votre grand-père et qu’alors une violente dispute se produise entre vous,
au terme de laquelle vous le tuer. Dans ce cas là, votre père ne naîtra
pas et donc vous non plus. Mais si vous ne naissez pas, vous ne pouvez pas
remonter le temps et tuer votre grand-père. Il se crée donc un paradoxe.
- Je vois. Dans notre cas il est dangereux de nous rencontrer nous même car
cela pourrait influer sur nos doubles et de ce fait modifier leur avenir
jusqu'au point qu’ils n’effectueraient pas ce voyage.
- Bref, nous avons un problème. Rajouta Jack.
- J’ai une question. Nous sommes en 1997, d’accord ?
- Exacte, Lieutenant.
- Soit cinq ans dans le passé. A quelle époque a débuté le projet ?
Les quatre autres membres de SG-1 se regardèrent.
- Lieutenant, vous êtes géniale.
- Merci mon Colonel.
- Jack ?
- Réfléchissez Daniel, nous sommes trois semaine avant la seconde mission
sur Abydos…
- Et ?
- Et ? Et bien il suffit de débarquer au SG-C au moment ou nous sommes
sur Abydos, de réussir à convaincre Hammond de nous laisser utiliser la
porte, et nous rentrons à la maison.
- Parce que vous croyez que le général va nous croire ?
- C’est vrai que cela risque d’être délicat. Il faudra le convaincre
de notre bonne fois sans trop lui en dire. Rajouta Sam.
- Mais pourquoi ne pas y allez avant la mission. Cela nous évitera de nous
croiser.
C’est Jack qui répondit :
- Pour deux raisons, Daniel. La première et que si nous faisions cela nous
mettrions l’évidence qu’il existe plusieurs destination pour la porte,
chose que nous ne savons pas encore à ce moment là. Et deuxièmement,
jamais le Général ne pourra nous croire, vu qu’il ne nous connaît pas
encore.
- J’aimerais faire remarquer qu’il est indispensable d’avoir quitter
la base avant le retour de nos homologue. Mon double et le Major Kawalski
seront tout à fait capable de détecter vos symbiotes Tok’Ra.
- Et il est hors de question de lors donné des explications.
- Evidements.
- Pff… Tu parle d’un plant. Soupira Daniel.
- J’ai bien une autre solution, mais…
- Allez-y, Romanov.
- Nous nous trouvons un coin tranquille et attendons tranquillement que le
temps passe jusqu’au moment de notre voyage temporel. Et seulement à ce
moment là, nous retournons à la base… avec cinq ans de plus.
Tout le monde regarda tout le monde. Et puis, jack…
- En avant pour Cheyenne Mountain…
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Trois semaines plus tard, abord de la base de Cheyenne
Mountain.
- Nous sommes en retard sur le planning. Remarqua Jack
- Vous êtes sur Jack ? Moi, après cinq ans je ne me souviens plus à
quelle heure vous êtes venu me chercher.
- Certain. A l’heure qu’il est nous devons nous apprêter à partir sur
Chulac.
- Alors, qu’est ce que nous faisons ?
Toute l’équipe se trouvait dans une voiture de tourisme.
Ils stationnaient à courte distance de la base. Suffisamment prêt pour voir la
grille d’entrée.
- Nous allons sonner à la porte et nous demandons Hammond.
- …
- Dernière chose : Jack, Sam faite attention à la façon dont vous
vous parlez…
- Compris Capitaine Carter ? Gardez vos distances.
- A vos ordres…mon Colonel.
Daniel s’adressa à Teal’C et Natalia :
- Vous deux aussi, n’oubliez pas parler de Sam en tant que Capitaine et
pas Major ou Docteur.
- C’est compris, Daniel Jackson.
- Alors en route. Teal’C, votre chapeau. Romanov, essayez de ne pas être
trop… russe.
Et la voiture démarra et se dirigea ver la grille…
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Bureau du Général Hammond :
Le Téléphone sonna :
- Hammond.
- …
- Quoi ?
- …
- Vous êtes sure ?
- …
- Je vois.
- …
- Très bien j’arrive.
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Une sale de la base, à un niveau quelconque :
Nos cinq amis étaient assis autour de la table centrale.
Bien qu’ils étaient seuls dans la pièce, une caméra de sécurité les
surveillés. Jack ne put s’empêcher de lui faire un petit "coucou".
A l’extérieur deux hommes armés surveillaient l’entrée.
- Je savais que nous aurions du laisser nos armes à l’extérieur.
- Allons Daniel, vous savez qu’ils nous étaient impossibles de laisser de
telles armes à cette époque et surtout n’importe où.
- Je sais, Sam. Espérons que nous pourrons les récupérer….
La porte s’ouvris. Le Général rentra dans la pièce
de deux hommes armés. Par réflexe ou par politesse les membres de SG-1 se
levèrent
- Qui êtes vous ?
- Colonel Jack O’Neill de SG-1, mon Général.
- C’est impossible, le Colonel O’Neill est actuellement en mission.
- …Sur une autre planète, où il à mission de ramener entre autre la
femme du docteur Daniel Jackson, ici présent ainsi qu’un sergent de l’armée
de l’air américaine.
Jack désigna du pouce de docteur. Celui leva la main pour
faire un signe au Général. L’officier rester perplexe. Sam prit la
parole :
- Mon Général, ce que nous allons voulons vous dire c’est que nous
sommes bien SG-1… mais le SG-1 du futur.
- Du futur ? Vous dite venir de l’avenir ?
- En faite c’est une question de point de vue, pour nous c’est notre
présent et c’est ici le passé…
- Daniel !
Hammond dévisagea les cinq "voyageurs".Il n’avait
fait qu’apercevoir le docteur Jackson et ne pouvait se prononcer sur lui. Par
contre il avait largement eu le temps d’observer le Colonel O’Neill et le
Capitaine Carter. Les deux qu’il avait en face de lui étaient ressemblant,
cela ne faisait aucun doute. La principale différence était pour leurs
cheveux: plus long pour elle et grisonnant pour lui.
Il s’arrêta sur Teal’C et Natalia.
- Et vous, qui êtes vous ?
- Désolé Général Hammond, mais notre identité ne doit pas vous êtes
révélé. Répondit Teal’C.
Natalia n’avait pas ouvert la bouche. Il était inutile
dans rajouter avec la présence "d‘un espion russe" au cœur de la
base.
- Et pourquoi cela ?
- Parce que vous saurez qui nous sommes le moment venu.
Pour le Général cette histoire était abracadabrante. Les
voyage dans le temps c’était de la science-fiction.
- Et que faite vous… à notre époque ?
- En faite c’est un accident qui nous a amenait ici. Et nous avons besoin
de la porte pour regagner notre époque. En faite, il faudrait que nous la
traversions dans…
Sam regarda sa montre (on ne demandera pas ou elle à put
s’en trouver une neuve…).
- … Trois heures et huit minutes.
- Pourquoi à ce moment là ?
- Certaines circonstances seront nécessaires à notre voyage. Et elles n’arriveront
qu’à ce moment là.
- Avez vous un moyen de prouvez vos propos ?
- En faite… non. Tous ce que nous pourrions vous dire pourrais avoir des
conséquences sur l’avenir.
- Et nous sommes conscients que nous vous demandons de nous faire confiance
alors que nous pourrions êtres des espions ou même pire..
- Il reste notre équipement, mon Général. Fit remarquer Jack
- C’est en effet la seul chose qui semblerait prouvez que vous n’êtes
pas fou, ou dangereux.
On frappa à la porte et une personne entra.
- Vous désiriez voir un médecin, mon Général ?
- Oui docteur…
Hammond regarda le badge de la doctoresse :
L’ensemble de SG-1 garda tant bien que mal son
stoïcisme.
- Je veux que vous fassiez passer des testes à ces personnes pour savoir s’ils
sont vraiment ceux ils prétendent être.
- A vos ordres, mon Général.
- Heu, je crois que ce ne sera pas possible, mon général.
- Ha ? Et pourquoi cela, je vous pris ?
- Désolé…
- Mais vous ne pouvez rien me dire ?
- …
- Vous ne faite rien pour arranger votre cas.
Une voie que les membres de SG-1 connaissaient bien se
fit entendre :
- Le Général Hammond et demander en sale d’embarquement ! Arrivée
imminente !
Hammond se tourna ver Janet.
- Merci docteur se sera tout, vous pouvez disposer.
Il se tourna ver les soldats en faction :
- Surveillez les biens. S’ils tentent quoi que soit, vous avez ordre de
tirer.
Il se dirigea ver la sortie. Sam l’interpella :
- Mon Général, ne dite rien à nos doubles. Ils ne doivent pas connaître
notre existence. Les conséquences en seraient catastrophiques.
Hammond regarda Sam un instant puis sorti sans un mot. Le
docteur Frasier allait lui emboîter le pas quand elle se sentit observé :
- Quelque chose ne va pas docteur Jackson ?
- Heu…non, non. Tout va bien. Mais merci de vous en inquiétez.
Vraisemblablement pas convaincue, Janet sortie de la
pièce.
Les deux gardes sortirent aussi et se placèrent devant
la porte.
- C’est pas gagné…
- Non
- Alors que faisons-nous, mon Colonel ? Nous ne pouvons pas rester ici
indéfiniment. Plus le temps passe et plus nous risquons de créer un
paradoxe.
- Nat. A raison Jack.
- Je sais Daniel, à tout moment nous risquons de… paradoxer. Si vraiment
nous n’avons plus le choix nous tenterons une méthode plus musclée. Mais
seulement en dernier recoure.
- Donc, en attendant le retour du Général, nous patientons.
- A moins que vous ayez une autre idée…
- …
---------------------
Après une durée de temps que l’on pouvait qualifier d’assez
longue :
SG-1 prenait son mal en patiente. Daniel et Natalia jouaient
aux cartes ( Ne pas posez la question de savoir ou ils les ont trouvées…),
Jack faisait "mumuse" avec un stylo. Teal’C regarder par-dessus l’épaule
de Daniel et Sam semblait perdu dans ses pensées.
- Je m’ennuis.
- Moi aussi.
- Idem ici…
- Le Général nous a oublié, mon Colonel ?
- Non Lieutenant, il est juste un peu trop occupé par l’arrivé de Teal’C
à la base et l’infection du Major Kawalski par un Goa’uld. Une fois qu’il
aura réglé tous cela il pensera de nouveau à nous.
- Il ne nous reste plus que quarante cinq minutes avant l’orage solaire,
Jack.
-
Un son se fit entendre en provenance de la porte d’entrée,
comme si quelque chose venait de frappait contre, mais avec force. Chacun tourna
la tête ver l’entrée, par réflexe. Les regards se croisèrent, chacun
cherchant une réponse sur le visage des autres. Jack se leva de son siége et
alla coller son oreille contre la porte. Il n’entendit rien. Il posa sa main
sur la poignée de la porte. Tout le monde se leva.
- Jack, qu’est ce que vous faite ?
Lentement, il abaissa la poignée de la porte.
- Je ne pense pas qui est laissez la porte ouverte.
En effet, la porte ne s’ouvrit pas.
- Vous voyez.
- Teal’C, vous me donnez un coup de main ?
- Nous passons à la phase musclée, mon Colonel ?
- Exacte, Lieutenant.
- Jack, tu es sur ? Pense aux conséquences.
- Je sais, Sam. Mais mon instinct me dit de le faire.
- Votre instinct ? Jack, vous…
- Go, Teal’C.
Les deux hommes se précipitèrent se l’épaisse porte.
Celle ci cédât sur leurs assauts conjoints.
Sur le sol du couloir gisait les corps des deux soldats de
gardes. Sam et Daniel se penchèrent sur eux :
- Celui la est mort.
- Lui aussi.
- Et leurs armes ont disparut.
- Mais qui ?
- Kawalski. Expliqua Jack.
- Mais il n’avait pas fait cela la première fois.
- Sauf que ces gardes ne devaient pas être là. C’est notre intervention
qui les a mis ici.
- Et qui les a tué...
- Les regrets c’est pour plus tard, Daniel. Sam est ce qu’il y à des
risques de paradoxe ?
- Deux hommes sont morts avant l’heure, alors oui il y des risques de
paradoxe.
- Et s’il y a un paradoxe, que va t-il se passer ?
- Comment ça ?
- Quel sont les effets d’un paradoxe ?
- Il y deux théories : l’une d’elle étant que le paradoxe crée
une incohérence sur la ligne temporelle et dans ce cas la, le
"Temps" corrige cette erreur en effacent tous bonnement notre
monde.
- En gros, tu veux dire que cela nous tue ?
- Non, puisque dans ce cas là nous n’avons jamais existé.
- C’est pareil…
- Et l’autre solution ?
- Le paradoxe sépare notre ligne temporelle en deux créant deux mondes
parallèles, l’une "normal", sans notre intervention, l’autre
"altéré" ou nous sommes intervenues.
- En parlant de monde parallèle, vous faite allusion aux dimensions
alternatives comme celle que nous connaissons grâce au miroir
quantique ?
- Exacte Teal’C.
- Mais si les dimensions parallèles sont les résultats de paradoxe ;
cela veut dire qu’il y une multitude de personne qui voyage dans le
temps ? Cela n’a pas de sens.
- Non, sauf dans ce cas précis, les dimensions parallèles ne sont pas le
résultat de paradoxe. En fait le principe est qu’à chaque moment de
votre vis quand vous prenez une décision cela entraîne une conséquence.
Si vous avez plusieurs choix possible au même moment comme aller à gauche,
à droite ou tout droit dans un croisement ; chacune de ses
possibilités créera une ligne temporelle différente : une ou vous
êtes allé tout droit, une à gauche et une à droite.
- Comme pour vous quand vous avez décidé de rentrer dans l’armé, alors
que dans d’autre monde vous êtes rester une civile.
- Exacte Teal’C.
- Mais considérant que pratiquement à chaque moment de votre vie nous
prenons une décision, cela fait un paquet de ligne temporel.
- Et de ce fait, de dimension.
- D’accord, c’est bien beau tous cela, mais je vous rappelle que nous
sommes au milieu d’un couloir et que je ne sais toujours pas si l’univers
risque d’être détruit si nous agissons.
- Du fait que le miroir quantique existe, je pense que la théorie des
multiples lignes temporelles est la plus juste.
- Nous sommes toujours là, c’est une bonne preuve, non ? L’univers
n’a pas disparut.
- Sam, si tu te doutais de cela, pourquoi ne pas nous avoir laisser tous
raconter à Hammond tous de suite, nous aurions gagné du temps ?
- Parce que je ne sais pas si la porte va nous renvoyer dans notre présent
ou dans le présent altérer que nous allons créer par notre intervention.
- Il y a un moyen de le savoir ?
- Aucun.
- Pff… Génial.
- Qu’est ce que nous faisons, mon Colonel ?
- Nous profitons de la situation. Notre unique objectif et de passer la
porte des étoiles au moment opportun. Ce qui se passe ici ne nous regarde
pas.
- Jack, nous pourrions les aider, quitte à changer quelque chose.
- Non, Daniel. Le prochain orage solaire est dans deux mois, nous ne pouvons
pas rater ce créneau.
- Il reste trente deux minutes, il faut faire vite.
- Alors allons y…
---------------------
Salle d’embarquement, onze minutes plus tard :
Du haut de sale de contrôle, O’Neill venait de hurler cet
ordre au Jaffa. Celui ci était en plein combat avec un major Kawalski possédé
par un Goa’uld. L’affrontement avait lieu devant la porte des étoiles.
Sur ceux le SG-1 du futur arriva dans la pièce.
- Teal’C, avec moi ! S’écria O’Neill
Les deux amis se précipitèrent sur les combattants. A la
grande surprise de ceux ci. Ils attrapèrent Kawalski alors en plein pugilat
avec le Teal’C du passé et le tirèrent en arrière. Surpris, le Jaffa les
laissa faire. Kowalski reçut deux crochés en plein visage. La force de ses
deux adversaires le projeta sur le sol. A moitié groggy par le coup il voulut
se relever quand Sam arriva à son tour et lui donna un coût de pied dans le
visage. Le major Kowalski resta à terre, inconscient.
Les deux Jaffa se regardèrent. La version future, inclina la
tête pour saluer son homologue. Celui ci le regarda avec surprise et
étonnement. Chose qu’il n’était pas habitué à exprimer de visu.
Sur ceux, le Général Hammond, le Colonel O’Neill et
plusieurs soldat arrivèrent dans la salle. Ces derniers mirent en joue les
intrus.
- Bon sang ! Mais qu’est ce que cela signifie et qui êtes
vous ?! S’écria O’Neill ?!
- D’après ce qu’ils ont dit se seraient des visiteurs du futur.
Expliqua Hammond
- Salut Jack, ça boum ? Demanda Jack à son passé.
A ce moment là le Capitaine Carter et Daniel Jackson
arrivèrent. Teal’C, la version du passé, en profita pour les rejoindre. A
présent le passé faisait face au futur.
- Heu, quelqu’un peut m’expliquer ? Demanda Daniel.
- Kowalski avait l’intention de passer la porte des étoiles tout en
faisant sauter la base. Teal’C a tenté de l’arrêter pendant que le
Général et moi arrêtions ce compte à rebours. Ils étaient en plein
combat quand c’est cinq la sont arrivé et ont mis Kawalski KO. Ca vous va
comme résumer ?
- Ca le mérite d’être court…
Sam regarda sa montre :
- Plus que quatorze minutes.
- Quatorze minutes avant quoi ? Et puis d’abord qui êtes vous ?
Questionna Jack
- Le Général la dit, nous venons du futur. Répondit Jack.
- Mon Général, vous les connaissez ? Demanda le Capitaine Carter.
- Ils sont arrivés, il y a quelque heure pendant votre mission sur Chulac.
Ils prétendent être "vous" dans le futur et veulent utiliser la
porte des étoiles pour repartir chez eux.
- Ridicule. Ne me faite pas croire que j’aurais autant de cheveux gris
dans le futur.
- Supporter le petit scarabée c’est très stressant.
Jack désigna son Daniel.
- Merci Jack.
- De rien
- Messieurs ! Le temps n’est pas a la plaisanterie. Fit remarquer
Natalia.
- C’est quoi cet accent ?
- L’accent russe, Colonel O’Neill. Dit-elle avec un petit sourire.
- O’Neill. Votre double et celui du Capitaine Carter son des Goa’uld.
- Quoi !
- Nous ne sommes pas des Goa’uld ! S’écrièrent Sam et Jack.
- Vous en êtes certain Teal’C ? Demanda Hammond.
- Absolument.
- Hé ! Nous venons de vous dire que nous ne sommes pas des Goa’uld !
Nous sommes des Tok’Ra !
- Des quoi ? Demanda le Capitaine.
- Tok’Ra, ça veut dire "Contre Ra" ?
- En effet Daniel Jackson. Une ancienne légende Jaffa raconte qu’il
existe des Goa’uld qui se battent contre les Grand-Maître et qu’ils ne
prennent pas d’ôte de force, seulement des personnes consentantes.
- Par ce que dans le futur nous allons avoir un serpent dans la tête, c’est
ridicule.
- J’étais vraiment aussi borné à l ‘époque ? Demanda Jack
à Sam.
- Ca n’a pas vraiment Changé, aujourd’hui.
- Daniel !
- Nous sommes dans une impasse, fit remarquer Hammond, Vous ne voulez nous
donner aucune explication, ni aucune preuve de votre bonne fois et sans cela
il n’est pas question de vous laissé utiliser la porte. Surtout que
maintenant nous savons que vous êtes des Goa’uld.
- Tok’Ra, mon Général.
- Si vous voulez, docteur Jackson.
Sam pour ses compagnons :
- Nous n’avons pas vraiment le choix. Il faut leur donné des preuves.
- Et le paradoxe ?
- Au point ou nous en sommes…
Jack pour l’assemblée :
- Très bien, vous voulez des preuves… Capitaine Carter, votre père s’appelle
Jacob il est Général dans l’armé de l’air, votre mère et décédé
quand vous aviez quinze ans d’un accident de voiture et vous avez un
frère, Marc. Vous avez faillis épouser un parfait crétin du nom de Jonas…
- C’est bon, Jack. Ils sont compris.
Tout le monde regardez le capitaine Carter. Inutile de dire
que tous étaient surpris, y compris elle-même.
- Capitaine ?
- Je… je confirme, mon Général.
- Vous avez étés fiancé ?
Daniel pris la parole :
- Jack, votre ex femme s’appelle Sarah, vous êtes séparé depuis votre
retour d’Abydos suite à… un évènement tragique dans votre vie. Vous
aimez, que dis-je, adoré allé pécher dans un lac près de votre chalet.
Et vous détestez les scientifiques… sauf Sam.
- Colonel ?
- C’est bon, je l’avoue.
A l’air gêné du Colonel, les deux Sam sourirent.
Ce fut au tour de Teal’C :
- Daniel Jackson, vous avez un grand-oncle qui s’appelle Nicolas, que vous
considérez comme un peu fou. Il prêtant qu’il peut communiquer avec des
géants extra-terrestre grâce à un crane de cristal.
Jack se tourna vers Daniel
- Des Géants extra-terrestres ? Vous n’êtes pas le seul dingue de
votre famille ?
- Il n’est pas aussi dingue que cela. Remarqua l’autre Jack.
- Merci, Jack.
- Je parlais de votre grand-oncle…
Quant à Sam :
- Teal’C, vous avez une femme et un fils, Ry’ac, sur Chulac. Votre
maître s’appelle Bra’tac. Votre père était le prima de Cronos. Ce
dernier l’a tué, c’est pour cela que vous êtes rentré au service d’Apophis.
- Vous êtes marié !?
- C’est exact, O’Neill.
- Mais pourquoi ne nous avoir rien dit ? demanda Sam
- Parce qu’il ne veut pas que vous croyez que le fait d’avoir sa famille
sur Chulac, le pousserait à vous trahir, Capitaine. Expliqua Natalia.
- Et vous, qui êtes vous ?
- Une russe.
- Merci Colonel, mais ce n’est pas le sens de ma question.
- Je fais partie d’un programme d’échange, mon Général.
- Le temps nous est compté, mon Général. Il ne nous reste plus que
quelque instant.
Hammond regarda O’Neill. Celui-ci leva les épaules.
- Capitaine Carter, pensez vous qu’il est possible de voyager dans le
temps.
- Il y quelque temps je vous aurais répondit que c’est de la fiction.
Mais nous nous trouvons devant un appareil de conception technologique qui
nous dépasse. Et qui sait ce que nous allons trouver sur d’autre
planète.
- Ca veut dire oui ?
- Oui, mon Colonel.
- Très bien. Ou voulez vous aller ?
Tous le monde se tourna ver Sam :
- Envoyer-nous sur Chulac. Cala devrai faire l’affaire.
- Vous êtes sure. Nous en revenons et on ne peut pas dire qu’il soit tous
très amical.
- Nous nous y retrouverons à notre époque. Et les choses ont changé.
- Très bien.
- Faites vite.
Après entrée des coordonnées, la porte s’ouvrit.
Sam avait les yeux rivés sur sa montre, prés à donner
le signal à ses camarades.
- J’ai une dernière question, a vous posé avant que vous partiez. De
quelle époque vous venez ? Qu’est ce qu’il nous attend ?
- Chaque chose en son temps, Danny-boy, chaque chose en son temps…
- Maintenant ! S’écria Sam.
Les cinq membres de SG-1 passèrent le vortex…
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Base de Cheyenne Mountain :
- Je reçois un code d’identification mon Général. C’est le code Tok’Ra.
- Ouvrez l’Iris.
L’Iris s’ouvrit. Jack, Sam puis Daniel et Natalia
firent leur apparition suivit de Teal’C.
- SG-1 ? Mais… ?
- Bonjour, mon Général.
- Mais qu’est ce que cela signifie ? Je vous envoie à Washington et
vous revenez par la porte des étoiles, en utilisant le code Tok’Ra.
- Nous n’avions pas d’émetteur pour envoyez le code d’identification,
alors nous sommes allez demander au Tok’ra de nous prêter le leur.
- Cela ne répond pas à la question.
- Si vous le permettez, mon Général nous vous expliquerons en salle de
Briefing. Pour l’instant nous avons besoin d’une pause.
- Très bien. SG-1 direction l’infirmerie.
- Je parlais d’une vrai pause, mon Général.
Natalia pour Sam :
- Il semble que vos inquiétudes ne se soit pas confirmé. Nous sommes bien
dans notre monde.
- Oui, nous avons eu de la chance. Nous nous en sortons bien. Mais nous
avons perturbé le temps. Et je crains qu’un jour devions en payer le prix…
FIN.
(Pour l’instant.)