Miroir déformant
Auteur : Craby.
Adresse : Craby@Marmotte.net.
Genre: Aventure, Romance Daniel/Janet et Sam/Jack (un
peu).
Saison : Le plus tard possible.
Résumé : A peine SG-1 est partie en mission de
sauvetage (voir Le Gouffre) que le SG-C reçoit la visite de… SG-1. (Suite des
fanfics : La Grande Evasion, Le Jour ou le Futur Rencontre son Passé et Le
Gouffre ).
Spolier : De l’autre coté du miroir. (mais vu le
titre de ce fanfic c’est pas une grande surprise)
©
: Alors je vais le redire encore une
fois : Je n’ai aucun droit sur les personnages et… ho ! Et puis
zut ! Tout le monde connaît la suite…
N’hésitez pas à m’envoyer un message pour me donner votre avis ou de
laisser un commentaire sur le site (ou les deux).
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Cheyenne Mountain :
Le Général Hammond contemplait le dernier membre de l’équipe
de sauvetage qui s’engouffrait à travers la porte. Il venait d’envoyer
trois de ses équipes, dont SG-1, à la recherche d’un Tok’Ra perdu sur une
planète sans nom. Comme à son habitude, il s’était contenté d’un
" bonne chance " lors de leur départ. De toute façon, c’est
tous ce qu’il pouvait faire, si ce n’est que de prier pour que tout se passe
bien et qu’ils reviennent tous entier. Il contempla un instant le cercle de
métal. L’homme assit au panneau de contrôle le tira de ses pensées :
- Mon général est ce que tout va bien ?
- Très bien merci. Si vous avez besoin de moi je suis dans mon bureau.
Il pris la direction de son bureau quant il aperçu le
docteur Frasier.
- Docteur Frasier ?
- Mon Général ? Je peu quelque chose pour vous ?
- C’est à moi de vous demander ça. Je pensais que vous viendriez au
départ pour souhaitez bonne chance à SG-1… et au docteur Jackson.
- Euh… C’est à dire que je n’aime pas trop ce genre d’aurevoir. J’ai
toujours l’impression que c’est un adieu.
- Je vous comprends. Moi-même, quand je les vois passer cette porte, je me
demande s’ils reviendront et en quel état.
- …
- Mais ne vous en faites pas, ils reviendront. Ils reviennent toujours, vous
le savez bien.
- Je sais. Mais j’ai comme un mauvais pressentiment…
Le Général allait lui répondre, quand l’alarme
retentie :
- Arrivée imminente ! Je répète arrivée imminente non
programmée !
Janet eu un frison dans le dos… Ils se rendirent tous les
deux dans la salle de contrôle.
- Rapport Sergent !
- Chevrons six enclenché. Recherche du septième symbole… Voilà, chevron
sept enclenché. La porte va s’ouvrir…. Mais… ?!
A la surprise générale la porte ne s’ouvrit pas. Au
contraire tous les chevrons se dés-enclenchèrent et le cercle de métal
continuait à tourner.
- Sergent, mais que ce passe t’il ?
- Je… Je ne sais pas. D’après l’ordinateur la porte a pourtant bien
mémorisée les sept chevrons…
Le premier chevron s’enclencha. Les lumières de la base
faiblirent :
- Bon Sang ! Sergent faites quelque chose !
- Je ne comprends pas. On dirait que la porte cherche une deuxième
combinaison qu’elle mais en parallèle à la première.
En effet, sur l’écran de l’ordinateur, une deuxième
colonne de symbole apparaissait à coté de la première. La baise de tension
devenait inquiétante.
Le second chevron s’enclencha.
- La porte consomme de plus en plus d’énergie. Je vais essayer de
compenser.
- Je croyais que le Major Carter avait réglé le problème d’énergie
après l’histoire du huitième symbole.
- Docteur, vous me parler de huit symboles ! Moi j’en vois
quatorze !
- Garder votre calme sergent.
- A…A vos ordres Général… Excuser moi docteur.
- Il n’y a pas de mal
Le troisième chevron s’enclencha.
- Je vais devoir faire un maximum de dérivation pour que tout ne disjoncte
pas, Général.
- Faites ce qui est nécessaire.
- Je vais faire de mon mieux, mais je ne suis pas le Major Carter.
La pièce se retrouva dans le noir. Seul la lumière des
écrans des ordinateurs perçait les ténèbres.
- Mais…
- Quoi Sergent ?
- On dirait… Il y a un apport d’énergie supplémentaire de source
inconnue.
- Comment ça de source inconnue ?
Un groupe de soldats armés rentra dans la sale d’embarquement
et se posta en position de tire.
Chevron quatre enclenché.
- C’est dingue ! On dirait que ça vient de la porte !
- La porte se fournis sa propre énergie ? Mais cela n’as pas de
sens !
- Je sais… A moins que…
- A moins que quoi Sergent ?
Le cinquième symbole apparut.
- C’est une théorie du Major Carter, comme quoi il est possible d’alimenter
une porte par le biais d’une autre porte, suivant certaines conditions.
- Quelles conditions ?
- Aucune idée. Il faudra lui demander…
L’avant dernier symbole s’enclencha.
- Sergent, est ce que les combinaisons sont connues ?
- Je comprends plus rien mon Général. La première représente la
terre !
- Nos propre coordonné ? Mais ça n’a pas de sens !
- Sauf votre respect, mon Général, rien n’est sensé.
- Je sais docteur ! Je sais ! Et la seconde combinaison ?
- Elle ne veut rien dire. Ou du moins ce ne sont pas des coordonnées que
nous connaissons.
Le dernier chevron s’enclencha et le vortex se forma, plus
violent et plus grand qu’à son habitude. Il se stabilisa tous de même, pour
donner la "flaque" bleutée habituelle.
- Fermez l’Iris Sergent.
- Iris fermée, mon Général.
- Mon Général ?
- Oui docteur ?
- Je ne suis pas spécialiste, mais si le huitième symbole représente une
destination très éloignée de la terre, n’y à t’il pas une chance que
deux lots de sept représentent une destination encore plus lointaine.
- Je ne sais docteur. Mais pour moi, qui que se soit, il ne passera pas
cette iris.
Il pris le micro :
- Soldat tenez vous prêt. A mon signal…
- Mon Général, je reçois une réception !
- Quoi ?
- Une réception codée sur nos fréquences habituelle. C’est faible mais…
- Vous pouvez l’identifier ?
- C’est le code de SG-1 !
- Mais ils viennent de partir ! Rajouta Janet.
- Et pourquoi ils auraient besoin de quatorze symboles ?
- Mon général, ça n’as pas d’importance. Il ont peut être eu des
problèmes !
Hammond Hésita quelque instant.
- Ouvrez l’Iris.
- A vos ordres.
L’Iris s’ouvrit. Pendant quelque instant, il ne se passa
rien, et puis…
- Daniel ?! S’exclama Janet.
Le docteur Jackson venait de passer la porte des étoiles.
Son passage avait du être brutal car il arriva plutôt rapidement et chuta
avant de finir de descendre la rampe.
- Soldat ne tirez pas ! Ordonna le Général au micro.
Daniel semblait rester à terre. Une seconde personne passa
la porte. Le Major Carter alla, elle aussi s’écrouler sur le sol, à côte de
son coéquipier. Deux autres personnes franchir la porte encore plus violemment,
on pouvait même dire qu’il avait du être projeter. Ils finirent plus loin
que les deux premiers arrivant. Vu à la vitesse ou ils étaient arrivés ces
personnes dans la sale de contrôle nul n’avaient pu voir qui ils étaient.
Maintenant qu’ils gisaient face contre terre, et dans la pénombre, il était
impossible au général de les identifier. Pourtant, un instant, il lui avait
semblait reconnaître… Non, c’était impossible, son imagination lui jouer
des tours.
Janet pris le micro :
- Equipe médicale dans la sale d’embarquement !
Elle se précipita dans la salle d’embarquement, le
Général la suivit.
La porte s’était fermée et les lumières étaient
revenues à la normale.
Janet se dirigea ver Daniel, toujours inconscient. Elle
commença à l’ausculter. Son cœur battait normalement et le reste de ses
observations semblait dire qu’il était juste assommé. L’équipe médicale
arriva. Daniel fut mis sur un brancard.
Le docteur Frasier s’approcha de Sam. Avec le doigté du à
sa profession, elle la retourna. Voulant observer son visage, elle du écarter
les longues mèches blondes qui lui caché le visage…
Elle leva la tête. Le Général Hammond s’était approché
des deux autres personnes, ils venaient d’avoir un choc. Janet eu le même.
- Le Major Kawalski ?! Mais comment… ? Demanda la doctoresse.
- Mon… Mon Général, docteur Frasier. Appela l’un des docteurs de l’équipe
médicale.
Le médecin venait de mettre en évidence le visage de la
quatrième personne. La vue du visage de la jeune femme l’avait secoué. Une
fois de plus ils eurent un choc.
- Par Saint George !
- Mon Général! On dirait…
- Feu, la femme du docteur Jackson : Sha’re ! C’est pas
croyable.
- Et ce n’est pas tous, regardez.
Elle pris quelque mèche de cheveux de Sam dans ses mains
pour les montrer à son supérieur.
- Des morts qui ressuscite, des cheveux qui pousse et quelque heure…
- Mon Général, croyez-vous que… ?
- J’en ai bien peur, docteur. Mais j’aimerais qu’ils confirment eux
même. Emmenez les à l’infirmerie.
- Très bien. Allez vous autres. On les soulève.
L’équipe médicale et le docteur mirent les quatre
inconscients sur des brancards. Pendants ce temps, le général s’approcha de
l’officier qui diriger les soldats :
- Je veux qu’ils soient surveillés en permanence, ils ne doivent pas
quitter l’infirmerie. Et prévenez-moi des qu’ils se réveillent.
- A vos ordres, Monsieur.
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Infirmerie du docteur Frasier, un peu plus tard :
Les quatre visiteurs étaient toujours inconscients. Le
nombre de garde étaient impressionnant ; le Général Hammond n’avait
pas lésiné sur les moyens.
- Vous m’avez fait demander docteur ?
- Oui mon Général. J’ai deux ou trois choses à vous montez.
- Je vous écoute.
- Je crois pouvoir dire d’où ils viennent, enfin en pratique…
Le Général avait bien sa propre idée mais il voulait avoir
la confirmation du docteur.
- Tous d’abord, regardez leurs uniformes.
Janet se dirigea ver une table où était entreposée quatre
uniformes. Ils étaient semblables à des uniformes militaires si se n’est
leur couleur qui était gris-bleue. Le docteur en pris un et montra l’emblème
qui se trouver sur l’épaule. Elle représentait une sorte de mappemonde, avec
le continent américain comme centre.
- Il y à d’abord ça. Et puis….
Elle se dirigea ver un panneau ou était affiché des radios.
Le Général la suivit.
- Voici les clichés radioscopiques de Daniel, du Major Kawalski et de Sha’re.
Apparemment tous et normal.
- Apparemment ?
- Tout correspond en tous points à leur dossier médical. Enfin, pour le
major, avant sa mort. J’aurais les résultats d’ADN dans quelques heures
et je pourrais en s’avoir plus.
- Et Sha’re ?
- Vu que je n’ai pas de référence je ne peux rien dire. Cependant, je
suis sur d’une chose, cette femme n’a jamais était l’ôte d’aucun
Goa’uld.
- Donc, il est impossible de tenir compte de l’éventualité qu’elle à
était ressuscitée grâce à un sarcophage ou un autre procéder Goa’uld.
- A moins que le dit procéder supprime les trace de Naquada que laisse un
symbiote dans le sang…
- Vous n’avez pas parlé du… "Major" Carter.
Le Général avait hésité à employer le terme major. Un
autre lui était venu à l’esprit…
- La, ça devient plus étrange.
- Comment ça ?
Janet afficha sur le panneau de nouvelles radios.
- Mais qu’est ce que c’est que ça ?
- C’est l’"intérieur" de Sam.
- On dirait des…
- Des membres de métal. Cette Sam est un cyborg.
- Un être mi-femme, mi-machine ?
- Exactement.
Les radios montraient qu’une grande partie du corps de Sam
avait était remplacé par des éléments cybernétiques. Ses bras et ses jambes
étaient artificielles, tous comme son cœur l’un de ses poumons, certaine de
ses cotes et quelques autres os. Ses yeux et son système auditif étaient
artificiel. Le cerveau lui même avait subit des modifications.
- Je ne pense pas que se soit à la portée de la technologie humaine, mon
Général.
- …
- Et ce n’est pas tout. Son sang et rempli de nanites.
- Des nanites ? Ces robots miniatures ?
- Exacte. Je pense qu’ils doivent entretenir les parties artificielles de
son corps…
- Mmmmm… Exacte…
Janet et le Général se retournèrent. "Sam"
venait de reprendre connaissance. Elle semblait être encore vaseuse.
- Comment vous sentez vous docteur Carter ?
- J’ai connu pire…
Le docteur Frasier ausculta Sam :
- Ses constantes sont revenues à la normale.
- Je récupère très vite. Et j’ai l’habitude de ce genre de choc…
- J’imagine.
- Non, je ne pense pas. Il faut que je vous dise que je ne suis pas…
- … la Samantha Carter que nous connaissons ?
- Vous venez d’une dimension alternative ?
Sam les regarda, surprise.
- Oui. Mais comment… ?
- Nous commençons à avoir l’habitude…
- Vous avez déjà rencontré des voyageurs dimensionnels ?
- Une fois ou deux. Rajouta Janet.
- Et bien, cela facilitera les choses.
- Par contre votre façon d’arriver et plus inhabituel.
- A bon ? Comment procédez vous d’habitude ?
Janet allait répondre, quand le général lui coupa la
parole.
- La façon n’a pas d’importance. La question est : que faite vous
ici ?
- Nous….
Des gémissements coupèrent Sam dans son élan. Le Major
Kawalski reprenait conscience. Janet s’approcha de lui :
- Major Kawalski ? Vous m’entendez ?
- C’est Colonel Kawalski, docteur.
- Merci Sam… Colonel ?
Le Colonel ouvrit les yeux :
- Janet ? Ca boum ma grande ?
- Voyons Colonel ! Janet était gênée.
- Kawalski arrête ! Tu ne sais rien de cette dimension.
- Ho ? Désolé doc. Dans la dernière dimension…
- Hum ! Colonel Kawalski, je suis le Général Hammond…
- Je sais qui vous êtes Général.
- Très bien. Dés que vous et le docteur Carter irez mieux, vous me
retrouverez en salle de briefing. Là, vous m’expliquerez ce que nous vaut
votre visite.
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Un peut plus tard, dans la salle de Briefing :
Le Général Hammond, Janet et l"’autre SG-1"
étaient réunis dans la salle de briefing."Daniel" et "Sha’re"
avaient repris connaissance et étaient donc présent.
- Bien. Messieurs et Mesdames, maintenant que tous le monde est là, nous
allons pouvoir commencer. Nous savons que vous venez d’une autre
dimension, mais nous ignorons comment et pourquoi. Pouvez vous nous
éclairer ?
- Avant de répondre j’aimerais s’avoir ou sont nos doubles ?
demanda Sam
- L’équipe SG-1 Comprenant entre autre, le docteur Jackson et le Major
Carter est actuellement en mission et ne pourra pas être là. Quant au
Major Kawalski et Madame Sha’re… sachez qu’ils sont décédés….
Le Colonel Kawalski se contenta d’un " Oh… "
et Daniel et Sha’re se prirent la main et se regardèrent avec affection. Ce
dernier geste envahis Janet d’un sentiment qu’elle se força de
chasser : la jalousie.
- Je suis Major dans l’armée, ici ? Pourtant vous m’avez appelé
"docteur" naturellement.
- Les doubles de notre Major que nous avons rencontré étaient tous des
docteurs. Nous en avons déduit que vous aussi. Et puis votre coupe de
cheveux n’est pas réglementaire pour un soldat…
- Ca explique. Remarquez que nous avons rencontré une version de moi même
qui était Colonel…
- Sam sera contente d’apprendre ça à son retour. Répondit Janet.
- Donc ce n’est pas la première dimension que vous voyager ? Repris
le général.
- Exacte. Une dernière question avant de commencer. Vous connaissez les Goa’uld ?
- Hélas…
- Et vous êtes en guerre contre eux ?
- On peut dire cela…
Les quatre voyageurs dimensionnels se regardèrent satisfait.
- Très bien. Sachez que nous venons d’un monde qui à était anéantis
par les Goa’uld. Grâce à une technologie extraterrestre nous voyageons
de dimensions en dimensions dans le but qu’un tel événement ne se
reproduise plus.
- Je vois. Mais comment procédez vous pour voyager entre les mondes avec la
porte ?
- Je suis désolée mais il nous est impossible de vous expliquer comment.
- Ha ? Et pourquoi ? Demanda Hammond.
- Parce que nous avons promis à ceux qui nous l’ont fournit de ne pas
divulguer ni qui ils sont ni les secrets de leur technologie.
Le visage de Janet et du Général exprimait le scepticisme.
A la vue de cela, Daniel reprit :
- Mais à l’exception de cela nous sommes prêt à vous donner toutes les
connaissances acquises lors de nos voyages dans les autres mondes. Tous ce
que nous demandons c’est de nous donner en échange vos connaissances pour
que nous puissions les partager avec les autres mondes.
- Et, sans vouloir paraître impolie, repris Sha’re, il faudrait faire
vite. Nous ne pouvons rester que pendant quarante huit heures dans la même
dimension.
- A cause de l’Entropie en Cascade ? demanda Janet
- Exacte. Je vois que vous êtes bien renseigne. Remarqua le Colonel.
- Comme nous l’avons déjà dit ce n’est pas la première fois que nous
rencontrons des voyageurs dimensionnels.
- C’est vrai. Désolé.
- Mais quel genre de connaissance proposez vous de nous donnez, en fin de
compte ?
- Sachez Général, que chaque monde que nous avons visité, et y en a un
pas mal, malgré leur ressemblance ont tous des variantes. Par exemple,
chacun d’entre eux possédait des coordonnées de planètes ou trouver des
alliers, ou de la technologie intéressante que les autres non pas.
- Sans compté que nous connaissons les coordonnée de planète ou il vaut
mieux pas aller, croyez moi. Rajouta Kawalski. Pas vrai Daniel ?
- Ca…
A première vue les voyage de ses quatre là n’avait pas du
être de tous repos tous les jours.
- Et sur le point technologique. ? Repris le général.
- J’ai les plants de vaisseaux de Guerre très efficace contre les Goa’uld,
ou encore de canons assez puissants pour détruire un de leur vaisseau-mère
sans problème. A moins que vous préfériez un système de téléportation
ou un radar-universel.
- Mais dites-moi docteur, vous avez tous ça sur vous ?
- Oui, général.
Elle montra sa tête.
- Tout est là… et un peu ailleurs.
- Justement. Je ne voudrais pas être indiscrète mais que vous est il
arrivé ?
- Disons que j’ai été là où il ne fallait pas au mauvais moment et que
sans certains amis je ne serais plus la pour en parler…
- Je vois, est-ce que… ?
- Non je ne pourrais pas vous donner accès à cette technologie. Elle vient
du même fournisseur que notre moyen de transport.
- C’est regrettable. Cela aurait pu permettre à des milliers d’handicapés
ou d’amputé de retrouver leur motricité.
- Je comprends mais ce n’est pas possible. Si cela peut vous rassurer vous
n’êtes pas la première à me demander ça et ma réponse a toujours
était la même.
- Pour revenir à notre échange, vous devez s’avoir que cela ne dépend
pas de moi.
- Vous devez contacter le président. Nous savons.
- Exacte. Et comme vous êtes pressés, j’y vais de ce pas. Vous pouvez
circuler dans la base à votre guise mais vous serez accompagné d’un
garde, par mesure de sécurité. Je ne peux pas laisser déambuler des
étrangers dans une base top secret sans surveillance. Même si vous êtes
"presque" des nôtres.
- Nous comprenons votre réaction, Général. C’est naturel.
- Très bien dans ce cas la réunion est finis. Je vous laisse. Si vous avez
des questions ou des problèmes voyez avec le docteur Fraiser. A plus tard.
Le Général Sorti, laissant le quatuor et Janet.
- Dites moi docteur, on nous a bien attribué des quartiers pour la durée
du séjour ?
- Exacte Colonel.
- Vous pouvez me montrer les miens ?
- Je vais demander à un soldat de vous accompagner.
Janet s’apprêtait à appeler un homme en poste devant la
salle de briefing, quand le Colonel là retint.
- Je préférerai que se soit vous. Si vous ne voyez pas d’inconvénient ?
Janet un peu surprise, jeta, par reflex un coup d’œil à
Daniel. Celui ci était occupé à faire des "papouilles" à Sha’re.
Ce n’était pas son Daniel, elle le savait, mais cela ne lui plaisait quand
même pas de les voir ensemble. Sam vie le regard que portait le docteur à la
compagne de Daniel. Elle eut un sourire en coin, que l’on pourrait qualifier,
de satisfaction. Janet ne le remarqua pas.
- Très bien Major… pardon, Colonel allons y.
Un soldat se mis à les suivre.
- Est ce nécessaire ? Je ne vais pas aller là où il ne faut pas
temps que je suis avec vous. Et je ne vais pas non plus m’enfuire.
Janet hésitât, puis elle fit signe au soldat de reprendre
son poste.
Le couple arriva aux quartiers de logement.
- Voilà c’est ici. Je ne vous fais pas visiter, vous connaissez déjà je
pense.
- C’est vrai. Mais entrez un instant nous pourrons discuter un peu de nos
mondes.
- Ce serait avec plaisir, mais mon infirmerie m’attend.
- Allez Janet détendez vous.
Kawalski l’avait attrapé au bras.
- Colonel je vous pris de bien vouloirs me lâcher le bras.
- Arrêtez de faire votre timide je sais que je vous fais de l’effet.
Il avait attrapé le menton de Janet avec sa main de libre et
avait approché son visage dans le but, très claire de l’embrasser. La main
de Janet vola et alla finir sur la joue du Colonel.
- Je vais mettre ce geste et ce langage inconsidéré sur le faite que votre
voyage vous a éprouvé !
- Outch ! Ok, je l’ai mérité.
- Très bien ! Maintenant je vous prierais de rester dans vos
quartiers, juste à nouvel ordre. Caporal !
Un soldat s’approcha.
- Oui madame ?
- Vérifiez que le Colonel reste dans ses quartiers jusqu’à ce que l’on
vienne le chercher.
- A vos ordres.
- Allons Janet. J’avoue que j’ai été maladroit….
- C’est Docteur Frasier ou Capitaine, pour vous. Janet, c’est pour mes
amis !
- Ecoutez… Capitaine…. Si j’ai agis ainsi c’est que dans d’autre
monde… y compris le précédant, nous avons été …intimes.
La nouvelle fut rude pour le docteur. Cela la calma
légèrement.
- Ce… ce n’est pas le cas ici, Colonel et ça ne le sera pas. Comprenez
le bien.
- Oui, je m’excuse. Mais mettez vous à ma place : Je reste deux jour
dans un monde et des que je commence quelque chose avec une personne je dois
la quitter pour de nouveau la trouver dans un autre monde, mais elle, elle
ne sait rien de moi… de nous.
Janet semblait embarrassé.
- Bon… Disons qu’il ne sait rien passé.
- Je le savais que vous étiez une chic fille, vous l ‘êtes tous le
temps.
- Si vous voulez circuler dans la base voyer avec le caporal. Je vous
laisse.
- Merci, mais je crois que je vais me reposer un peu. A plus tard.
Janet partie et Kawalski rentra dans ses quartiers :
- Ce sera un peut plus long, cette fois. Mais ce n’est pas grave, j’adore
les défis. De toute façon tu seras à moi…
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Sale de Briefing, juste après le départ du docteur
Frasier et du Colonel Kawalski.
Sam, Daniel et Sha’re discutent entre eux à voix basse.
- Tout se déroule comme d’habitude.
- L’absence de nos homologues va faciliter le travaille.
- Sans doute mais restons prudent, ils sont déjà rencontrer des doubles
dimensionnels.
- C’est vrai que c’est une première. Comment font-ils à ton
avis ?
- Aucune idée pour l’instant mais des que j’aurais accès à leur
banques de donnée ce ne sera plus un secret très longtemps. En attendant,
nous continuons notre rôle de bon petit samaritain.
- Comme d’habitude.
- Ha, au faite, Daniel, j’ai remarqué quelque chose d’intéressant.
Frasier craque pour toi.
- Pour moi ? Tien d’habitude c’est Kawalski qui l’envoie au
septième ciel.
- Il risque de se recevoir un "râteau".
- Hammond a dit que son double était mort. Sans doute qu’elle ne l’a
pas connue et c’est sur ton homologue qu’elle à jeter son dévolu.
- Hooo ! Pauvre Daniel… dit Sha’re avec une voie faussement
compatissante.
- Donc tu as compris, tu dois être très "gentil" avec elle, cela
pourra nous servir.
- Ne tant fait pas je serais trééééés gentil, Hahahahaha !
- N’en fait pas trop.
- Pervers !
- Mais tu adores ça ma chérie.
- Bon maintenant jouons les touristes. Et si tout se passe bien d’ici
moins de quarante huit heures, cette base et son personnel, ne sera plus qu’un
lointain souvenir…
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Bureau du Général:
Hammond venait juste de raccrocher le téléphone rouge posé
sur son bureau, ligne directe avec la maison blanche. Il devait maintenant
avertir les visiteurs de la décision du président.
Il fit un pas ver la porte de son bureau quant…
- Alerte ! Arrivée non programmée ! Je répète, arrivée d’un
visiteur non programmée!
- Et ça recommence… pensa t-il.
Il se dirigea à grande enjambée ver le poste de contrôle.
Arriver sur place il se retrouva avec le docteur Frasier dans
la dite sale.
- Que se passe t-il, sergent ?
- Transmission en cour, mon Général… Code SG-5, Monsieur.
- Ouvrer l’Iris.
- A vos ordres.
Le cercle de métal s’ouvrit, juste à temps pour laisser
passer les premiers arrivants : Le Colonel Bowman, chef de SG-5 et le Major
Lewis chef de SG-7. Ils étaient suivit par le reste de leur équipe. Deux
membres de SG-5 étaient blessaient : L’un à la jambe, ce qui l’obligé
à être soutenu par deux de ses camarades pour se déplacé et l’autre au
bras, qu’il portait en écharpe.
Le Docteur Frasier pris le micro :
- Equipe médical en sale d’embarquement.
Puis elle partit en direction des blessés.
- Colonel Bowman, Major Lewis en sale de briefing, immédiatement.
Les deux officier laissèrent leur coéquipiers et se
rendirent, comme leur supérieur, leur avait ordonné dans la sale de réunion.
Sur place ils saluèrent de façons réglementaire le
Général :
- Asseyez vous, messieurs.
- Merci mon Général.
- Que s’ai t’il passé ? Et ou et SG-1 ?
- Encore sur la planète.
- Alors pourquoi êtes vous revenus.
- Sur ordre du Colonel O’Neill. Il nous a ordonnés de quitté la planète
sans les attendre.
- Et pourquoi ?
- Et bien, à notre arrivée sur la planète nous avons rencontré le Tok’Ra.
Un certain K’lyn. Il nous a expliqué que la personne que nous devrions
chercher n’était autre que Anis.
Evidement, le Général fut surpris.
- La demoiselle s’était lancé sur la traduction ou l’étude, je ne
saurais vous dire, d’une étrange plaque de métal recouverte d’inscription.
Et en effet elle avait disparut, bien que rien ne semblait prouvé qu’elle
avait été kidnappée. Sur les consignes du Colonel nous nous sommes
divisé en équipe de deux pour fouiller le secteur pendant que le docteur
Jackson, Teal’C et le Tok’Ra restaient pour tenter de déchiffrer les
instructions.
- A-t-il réussit ?
- Il semble que oui, mais un peu tard.
- Et bien d’après ses brefs explications, la planète a été habitée
par une race qui a été quasiment exterminée par un peuple d’origine
humaine. Une autre race est venu par la suite et dans le but de protéger
les quelques survivants ils ont installés des systèmes de défense pour
repousser les envahisseurs s’ils revenaient. Le problème et que ces
engins ne font pas de différence entre les "bons" et les
"mauvais" humains.
- C’est comme ça que vos hommes ont été blessés ?
- Oui. Et je crois pouvoir dire que nous avons eu de la chance.
- Bon très bien, mais pourquoi SG- n’est pas avec vous ?
- Il semble que le Major Carter est eu un problème avec l’un de ces
systèmes de défense. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais ses
coéquipiers sont restés pour l’aider.
- Ca je le comprends.
- Comme nous ne pouvions rien faire pour les aider sans prendre de risque de
se faire griller, nous avons suivit l’ordre du Colonel et sommes rentrés.
- Vous avez bien fait Colonel.
- Merci Général.
- Très bien rendez vous à l’infirmerie pour que le docteur vous examine.
- A vos ordre. Ha oui, mon Général, le Colonel ne veut pas de renfort…
- Et il n’en aura pas. Je ne peux pas prendre de risque de mettre en
danger d’autres hommes pour une seul équipe, même si c’est SG-1.
- Ils ont l’habitude, mon Général. Ils s’en sortiront.
- Comme toujours, Colonel. Comme toujours…
Malgré ses dernière parole, le Général n’était pas
rassuré…
A l’extérieur de la pièce une personne sourie, elle
était très satisfaite de ce qu’elle venait d’entendre. Cela intéresserait
sûrement ses partenaires… En entendant que les deux officiers s’approchait
d’elle Sha’re s’éclipsa discrètement…
---------------------
Bureau du Général Hammond, Un peu plus tard.
On frappa à la porte.
La porte s’ouvrit et Sam rentra.
- Vous vouliez me voir Général ?
- Oui docteur. Entrez et Asseyez vous.
- Je vous écoute.
- J’ai eu le président au téléphone et il d’accord pour l’échange
d’informations.
- Parfait !
- Quand voulez vous commencer ?
- Le plutôt possible.
- Pourquoi pas maintenant ?
- Parfait.
- Allons y.
Ils se levèrent et partire en direction de la sale de
contrôle.
Arrivé sur place.
- De là, vous aurez axait à toute nos banques de données. Le Lieutenant
Hunter, ici présent et notre meilleur spécialiste et l’absence de votre
double. Il vérifiera que tout ce passe bien.
- Aucun problème. Commençons.
- Comment allez vous procéder ? Interrogea l’officier.
- Comme ceci.
De la même manière que s’ouvre l’iris de la porte des
étoiles. La peau de la paume de la main gauche du docteur Carter s’écarta.
Il en sortit une tige de métal d’environ une vingtaine de centimètre. Elle
planta le bout dans un accès modem d’un des ordinateur.
- Mais qu’est ce…
- Voyez cela comme un modem intégré en moi.
- Incroyable ! S’extasie Hunter.
Sur la plus part des écrans des ordinateurs il se mit à
défiler, à toute allure, tout le contenu des banques de données de la base.
- Pour l’instant je me constante de passer tout en revue pour savoir ce
que vous s’avez déjà pour ne pas surcharger vos mémoire avec des
informations inutiles. Cela peut prendre un certain temps.
- Et bien quand vous aurez fini prévenez moi. Lieutenant je vous la confie.
- A vos ordre mon Gé…
Le Lieutenant ne put finir sa phrase. Il fut couper par l’homme
assis aux postes de commande de la porte :
- Mon Général ! Les Chevrons son entrain de s’enclencher. Arrivez d’un
visiteur.
Les sept chevrons s’enclenchèrent et la porte s’ouvrit.
Le docteur Carter avait le regard dans le vide et ne semblait
pas se rendre compte de ce qu’il se passait à quelque pas d’elle.
- Je reçois le code de SG-1, Monsieur.
- Ouvrez l’Iris.
- Iris ouverte.
Daniel Jackson sortie de la flaque bleuâtre. Sans attendre
le Général alla le rejoindre.
- Docteur Jackson est ce que tout va bien ? Et ou sont les
autres ?
- C’est un peut compliquer mon Général, j’ai pas mal de chose à vous
raconter.
- Cela tombe bien, moi aussi…
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Bureau du Général :
Janet avait rejoint les deux hommes. Elle n’avait pu
réfréner la joie et le soulagement de revoir son compagnon.
- Hum ! Hum ! Jeune gens, je vous en pris.
- Pardon Général.
- Désolé mon Général.
Le couple se sépara.
- Docteur Jackson si vous nous expliquiez où sont vos coéquipiers.
- Et bien…
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Sale de contrôle :
Le docteur Carter n’avait pas bougé depuis qu’elle avait
commencé à lire les donner des ordinateur. Son regard était toujours dans le
vide.
Bien qu’il ne lui semblait pas qu’elle puisse le voir, le
lieutenant Hunter, se décala de tel manière qu’il se soit pas dans son champ
de vision. Discrètement il sorti une CD-Rom de sa poche et l’introduit dans
un des lecteurs…
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Bureau du Général :
- Et vous êtes sur que les coordonnée que le Colonel O’Neill a rentrée
son ceux des Tok’Ra ?
- Certain… Et ils sont tellement ressemblant ? Non par ce que jusque là,
je n’ai pas rencontré mon double, alors…
- Vous pourrez les voir après, et vous aurez tout le loisir de discuter
avec vous-même…
Le général hésita, il regarda le docteur Fraiser. Puis il
reprit.
- et votre… enfin, sa femme…
- Pardon ?
Janet se senti mal, encore ce sentiment…
- L’autre moi et venu avec sa femme ? Mais il est marié avec
qui ? Non par ce que je m’attends au pire, avec ce que j’ai…
Houla ! Voilà que je me mets à parler comme Jack… Alors qui est
ce ?
Janet se crispa et baissa la tête.
- Janet qu’est qu’il y a ? Général ?
- Cela risque de vous faire un choc. Il est marié à la même personne que
vous l’étiez.
Daniel ouvris grand les yeux :
Daniel accusa le choc. Il y eu quelque seconde de silence.
Puis il pris la main de Janet :
- Ce n’est pas moi et ce n’est pas elle….
- Je sais, mais…
- Chhhhh… Tu n’as pas de raison de t’en faire. J’ai tourné la page.
Et aujourd’hui, mon histoire je veux l’écrire avec toi…
Janet ne savait pas quoi dire. Elle sentit l’émotion lui
mouiller les yeux.
- Daniel, je… je ne suis pas sur de comprendre.
Elle avait très bien compris….
- J’aurais préféré un autre endroit qu’ici, désolé Général…
Hammond sourit. Daniel se leva et s’accroupi devant Janet.
Il pris ses mains dans les siennes :
- Je sais que cela ne fait longtemps que nous nous fréquentons, mais j’aiappris
que, vu la vie que nous menons il faut vivre au jour le jour. Ce qui arrive
en ce moment à Sam et Jack en est la preuve. Donc…
Daniel inspira un bon coup…
- Janet Fraisier, voulez vous me faire l’honneur d’être ma femme ?
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Sale de contrôle :
Le lieutenant Hunter commença à trouver le temps long, cela
faisait plusieurs heures que le docteur Carter n’avait pas bougé. Soudain il
vit que son expression avait changé, elle souriait.
- Docteur Carter ? Vous m’entendez ?
Elle ne répondis pas. La pointe de métal se retira de l’accès
modem et rentra dans sa main. L’ouverture se referma ne laissant aucune trace
de ce qui s’était passé. Sam passa la main dans ses cheveux comme pour se
remettre les idées en place puis elle se leva.
- Docteur ? Vous m’entendez ?
- Oui.
- Ou en êtes vous ?
- Tu m’indisposes.
- Pardon ?
Elle ne répondis pas. Elle se contenta d’un mouvement
rapide et le saisi à la gorge. Elle sera et un bruis sec se fit entendre. Le
corps du lieutenant tomba sur le sol comme un poupée désarticulée. Elle se
baissa et prit l’arme du soldat dans son étuis. Puis elle pris son corps et
le traîna sous une table, dans le but de le dissimulé grossièrement. Elle
camoufla l’arme sous ses vêtements et se dirigea ver la sortie avec un
sourire satisfait….
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Bureau du Général :
Daniel et Janet s’embrassaient. Cette dernière était en
pleure. Daniel réussit à reprendre son souffle.
- Ca veut dire oui ?
- Oui… oui… mille fois oui ?
- Yahou ! Elle a dit oui ! Vous avez entendu Général ? Elle
a dit oui !
Daniel avait soulevé Janet du sol et tout en la tenant dans
ses bras la fis tourner.
- J’ai entendu, docteur. Je croie que toute la base a entendu…
Daniel s’écarta de Janet et se mis à tâtonner toutes les
poches de ses habits à la recherche de quelque chose.
Il porta son regard sur le bureau du Général à la
recherche de quelque chose. Il pris un trombone qui traîner là et commença à
le tordre. Au bous de quelque seconde il obtient un vague anneau. Il se tourna
ver Janet.
- Désolé, mais en attendant mieux…
- C’est la plus belle bague de fiançailles que je n’ai jamais vue.
Daniel lui passa la bague improvisée à l’annulaire
gauche. Ils s’embrassèrent. Le Général les fit revenir à la
réalité :
- Les enfants, je vous en pris ! Vous oubliez ou vous êtes.
- Pardon Général.
- Excusez nous, mon Général.
- Allez, sortez. Docteur Jackson, vous avez quartier libre jusqu’au retour
de vos coéquipiers.
- Ils reviendront, Général. Tous les trois…
- J’en suis sur.
Le couple se dirigea ver la sortie du bureau main dans la
main.
Ils se retournèrent, Hammond avait le nez dans ses papiers.
Et avec un petit sourire…
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Quartier des invités :
L’autre Daniel, Kawalski et Sha’re étaient réunis dans
l’une des chambres :
- Mais qu’est ce qu’elle fait ? Grommela le Colonel.
- Elle n’est jamais en retard d’habitude.
- Calmez vous messieurs, elle va arriver.
La porte de la chambre s’ouvrit et le docteur Carter
rentra.
- Bon sang ! Mais qu’est ce que tu faisais ?
- Du calme Kawalski. J’ai eu quelques problèmes.
- De quel genre ? Interrogea Sha’re.
- J’ai eu du mal à casser leurs codes d’accès. Mon double de cette
dimension et beaucoup plus doué en programmation informatique que ses
autres versions.
- Mais, tu as leur connaissance ?
- Evidemment cela a juste été un peu plus long que prévu, c’est tout.
- Donc tu sais comment ils ont connu des doubles dimensionnels ?
- Oui. Ils utilisent un objets extra-terrestre qu’ils ont appelé Miroir
Quantique. J’ai les coordonnées de la planète où ils l’ont trouvé.
- Parfait une fois chez nous nous pourrons aller le chercher.
- Et il n’y a pas que cela.
- Comment ça ?
- Ils ont trouvé d’autre machine intéressante, mais leur déontologie
leur a empêché de se les approprier.
- Les idiots.
- Et vous voulez s’avoir le plus drôle. Un des membre de leur SG-1 est un
Jaffa nommé Teal’C…
- LE Teal’C ? Demanda Daniel ?
- Exacte.
- Elle est bien bonne celle la.
- Dommage qu’il ne soit pas ici, celui là je me serais fait un plaisir de
lui régler son compte avant de partir !
- Du calme Kawalski. De toute façon nous ne pourrons pas attendre, il faut
partir.
- Déjà ? Mais cela ne fait pas quarante huit heure que nous sommes
là.
- Je sais Sha’re. Mais j’ai du me débarrasser du chien de garde qu’ils
m’avaient collé.
- C’est pas vrai ! Tu ne peux pas de contrôler !
Sam attrapa Daniel à la gorge et le souleva du sol :
- Met encore une fois mon autorité en doute et le voyage se fini ici pour
toi.
- C’est bon Carter, il a compris. Repose le.
Kawalski avait gardé son calme. Il semblait être habitué
au crise de Sam. Sha’re était plus inquiète pour l’état de son époux.
Sam lâcha Daniel qui tomba parterre. Il se mit à toussé et
repris sa respiration. Sha’re tentait de l’aider.
- Bien. Maintenant que le Docteur a repris ses esprits nous pouvons y aller.
Elle tendis l’arme qu’elle avait prise au lieutenant
Hunter à Kawalski. Il la prit.
- Nos gardes sont devant la porte. Il va falloir s’en débarrasser.
- Trois gardes contre nous…Les pauvres. Sam eu un petit rictus de
satisfaction.
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Bureau du Général, un peut plus tard :
Le Général Hammond était, comme à son habitude, assit
derrière son bureau. Il étudiait le rapport de mission d’une des équipe SG
rentrée précédemment.
Un soldat rentra précipitamment dans la pièce sans tenir
compte du protocole militaire :
- Mon Général ! Venez vite en sale de contrôle, c’est
urgent !
Le Général leva la tête surpris par l’attitude du
militaire. Qu’est ce qu’y pouvait être aussi grave pour le faire agire
ainsi ?
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Infirmerie du docteur Frasier :
Janet avait envoyé ailleurs tous ses assistants grâce des
prétextes bidons. Seul, elle et Daniel étaient présent. Ils avaient tiré les
rideaux blancs qui entourait les lits pour protéger leur intimité d’un
éventuelle visiteur.
- Tu sais qu’avec tous ça je n’ai même pas pris le temps d’aller
voir mon double.
- C’est peut être aussi bien ainsi.
- Ne me dit pas que tu es encore jalouse ?
- Ce n’est pas ça, mais je ne les aime pas. Je ne sais pas pourquoi, mais
il y a quelque chose qui ne me plaie pas chez eux.
- Comment ça ?
- Je connais bien Sam et celle là est … différente. Je ne parle pas du
faite que se soit un double ou qu’elle soit à moitié machine. Sam, la
notre est douce et son regard est chaleureux. L’autre est… effrayante…
- Ils ont du voir des chose horrible. Cela à du la changer.
- Possible. Mais il n’y a pas que Sam. Le Colonel Kawalski par exemple…
- Oui ?
- Il s’est comporté comme un goujat avec moi…
- Hein ?
- Il m’a fait des avances…
- Ho, le… Il va m’entendre. Attend que je lui mette la main
dessus !
- Inutile je m’en suis chargé…
Daniel fit la grimace.
- Même ton double était bizarre. J’ai eu l’impression qu’il nous
observait comme si nous étions des sujet d’expérience ou des bêtes
curieuses. Je me fais peut-être des idées…
- Intuition féminine ? Demanda-t-il ironiquement
- Ne te moque pas !
Elle lui donna un petit coup sur le torse.
- Désolé. Ecoute j’irais les voir. Comme ça je me ferais une idée. Et
si cela peut te rassurer je me méfierais d’eux à l’avenir.
Janet fit la mou. Malgré l’attention de son fiancé elle
était toujours inquiète.
Soudain l’alarme de la base se fit entendre.
- C’est pas vrai ! Toujours quand il faut pas ! Je commence à
comprendre Jack et Sam !
Janet ne pu s’empêcher de rire.
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Salle d’embarquement, un peu plus tard :
Janet et Daniel arrivèrent enfin sur place. Ils avaient
perdu beaucoup de temps. En effet, à leur grande surprise, de nombreuses portes
de sécurité étaient fermées, ce qui les avaient obligés à faire des
détours. Daniel s’était inquiété de voir des personnes coincé dans des
salles dont les porte refusaient de s’ouvrir. Plus inquiétant, ils avaient vu
se fermer juste après leur passage des accès à des couloir ou aux pièce d’où
ils sortaient. Il leur était impossible de revenir en arrière. Pas de doute on
les dirigeait ver un lieu précis, en l’occurrence la sale d’embarquement.
Déjà sur place le Général Hammond et deux soldats qui
tenaient en joue les quatre voyageur dimensionnel. Sur le sol les corps de
quatre autres soldats. Malgré la situation Sam et ses compagnons ne semblaient
pas du tout inquiété. Bien au contraire ils affichaient une sérénité qui
inquiétéit le général. Seul Kawalski et Carter étaient armés, mais s’il
y avait échange de coup de feu, il y aurait des perte de chaque coté. Dans la
sale de contrôle deux soldats regardaient la scène sans pouvoir intervenir.
Quand Janet et Daniel rentrèrent la porte de la sale d’embarquement se ferma.
- Bien ! Tout le monde est là.
- Mais que se passe t’il ici ? demanda Daniel
- Voilà enfin mon double ! J’ai cru que je ne le verrais pas avant
de partir.
Les deux Daniel se regardait. L’un toisant l’autre d’un
aire satisfait. Alors que l’autre semblait plus étonné :
- Ca fait bizarre de se voir comme ça. Murmura-t-il à Janet.
- Vous n’irez à nul part ! Qu’est ce qui vous prend ? Repris
le général.
- Il nous prend que nous avons ce que nous voulions en l’occurrence vos
banques de données. Donc, maintenant nous repartons.
- Par ce que vous croyez que nous allons vous laisser partir avec nos
informations !
- Mais vous n’avez pas le choix. En me donnant axait à vos ordinateurs
vous m’avez donné le contrôle de la base. Je contrôle tous :
porte, ascenseur, alarme, porte des étoiles…
Sam fit un geste et la porte des étoiles se mis à s’activer
à la recherche des chevrons. Les deux soldats pointèrent leur armes sur elle.
- … et système d’autodestruction. Si je meure… boum ! Plus de
montagne.
- Vous bluffez !
- On parie ?
- Je crois qu’elle est sérieuse, mon Général.
- Je sais docteur…
- Dans ce cas la, nous allons partir.
- Il n’en est pas question ! Si vous bougez nous abattons vos
compagnons.
Daniel et Janet furent surpris par la réaction du général.
- Hoooo, un Général qui en a, ça nous change. Ironisa Kawalski.
- Pour chacun de mes compagnons abattu ou blessé j’arrête le système d’aération
d’un niveau. Ca risque de faire beaucoup de mort…des morts longues et
douloureuses.
Le général était furibond.
- Rassurez vous vous n’êtes pas les premiers à vous faire avoir et….
Et…je…
Sam se senti mal. Elle posa ses mains sur ses tempes.
- Carter ! A quoi tu joues ?
- Je… j’ai eu un vertige. C’est passé.
Hammond et les docteurs échangèrent un regard. L’adversaire
semblait avoir quelques faiblesses. Mais comment en profiter ?
- Bon. Ce n’est pas que votre compagnie ne soit pas agréable mais…
Elle tourna la tête ver la porte dont les chevrons
finissaient de s’enclencher. Elle exprimait le désarrois.
- Quoi encore ?! Demanda leur Daniel ?
- Je… Ce n’est pas moi qui ouvre la porte on l’ouvre de l’autre
côté.
- Quoi !? Mais qu’est ce que tu fais !?
- Je…je…
Elle se reprit la tête entre les mains.
- Mais qu’est ce qui m’arrive ?
- Un Cheval de Troie.
La porte s’ouvrit et tout les regard se portèrent sur le
Général.
- Vous qui êtes une scientifique, docteur Carter, vous devez s’avoir ce
que c’est que l’on appelle un programme Cheval de Troie ?
- Un virus… vous m’avez filez un virus… mais comment ?
- Pendant que vous téléchargiez nos bases de données. Nous ne sommes pas
aussi naïfs que nous avons laissé croire. Je me suis méfier dès le
début de vos "bonnes intentions", alors j’ai pris quelques
précautions.
Les compagnons de Sam commençaient à paniquer. L’élément
maître de leur plant avait une faiblesse et cela ne leur étaient encore jamais
arrivé.
- Qu’est ce…qui…fait ?
- Pas grand chose. Il efface les banques de données des ordinateurs.
- Vous… vous purgez ma mémoire ?
- Mais qu’est ce qui se passe ici !? Demanda une voie masculine
familière.
Tout le monde se tourna vers la porte. Dans la précipitation
personne n’avait vu qu’elle s’était ouverte et que trois personne bien
connu en étaient sortie.
Teal’C, Jack et Sam regardaient la scène quelque peu
surpris.
C’est Kawalski qui brisa le bref instant de stupeur. Il
leva son arme et tira sut Teal’C. celui ci plongea sur le coté. Sam et Jack
firent de même de l’autre coté. Deux balles firent mouchent blessant le
Jaffa à l’épaule. Celui ci fini par terre.
Le docteur Carter régis immédiatement après. Avec une
vitesse que son état ne laissait pas paraître, elle leva son arme, tira et
abattu les deux soldats qui entouraient le général.
Les deux Daniel réagirent. L’un ramassa l’une des armes
des soldat à terre alors que son double s’apprêter à tirer sur le
général. Un tir de Zat’ de Jack l’arrêta. Sam fit de même sur son double
mais elle ne sembla pas affecté.
Sha’Re, assez maladroitement, tenta de ramasser, comme le
double de son mari une arme. Mais ce fut Janet qui l’intercepta :
- Tu comptes allez ou comme ça ?
Sha’Re, surprise s’arrêta. L’arme qu’elle convoitait
était entre les deux femmes. Elles se regardèrent droit dans les yeux. Elle
tenta de battre le docteur de vitesse. Celle ci ne s’occupa pas de l’arme :
Elle referma ses doigts, sera le poing et décrocha un crochet à la mâchoire
de son adversaire. Sha’re s’écroula inconsciente sur le sol. Janet secoua
sa main pour dissiper la douleur :
- Outch ! Ca parais plus simple à la télé…
Juste après le tir de Zat’ du Colonel sur Daniel, Kawalski
avait profité que Jack ne le regarde pas pour se précipiter sur le Major
Carter. Il passa en bousculant Jack au passage, qui surpris ne réagit trop
tard. Arrivé sur Sam, il la frappa au niveau de la main qui tenait son Zat’
avec la crosse de son arme. Surprise à son tour elle lâcha l’arme
extra-terrestre qui tomba un peu plus loin. Profitant de son effet de surprise
il l’attrapa en passant son bras autour de sa gorge. Il se plaça derrière
elle, s’en servant de bouclier et posa son arme sur la tempe de Sam :
- Bon ça suffit ! Laissez nous repartir ou je la tue !
- Kawalski ! Lâchez la !
- Tiens, Jack. Comment ça va ?
Le Général avait lui aussi ramassé une arme. Janet, elle,
contourna tout le monde pour allez voir Teal’C.
- Relâchez là Kawalski !
- Toujours aussi dingue d’elle, hein ? Dans tous les mondes c’est
pareille. Mais je te comprends Jack. Si celle là vaut la mienne…
Il montra sa Sam. Celle ci semblait avoir de plus en plus de
mal à suivre ce qui se passait. Le Virus faisait des siennes.
- … c’est une vrai championne au lit. Hahahaha !!!
Sam bouillonnait de colère mais elle semblait attendre un
signal de Jack.
Trop occupé par son monologue, Kawalski n’avait pas vu ce
que faisait Jack : Tous en les menaçant de son armes il s’était mis de
tel manière que de là où il était placé, ni le docteur Carter, ni le
Colonel Kawalski ne puisse voir son bras droit. O’Neill entrepris de s’équiper
du gant Goa’uld qu’il avait dans une de ses poches, cadeau de Jacob, après
leur séparation sur la planète ou il était il y avait quelque minutes.
Hammond et le docteur Jackson, placé en arrière de Jack virent la manœuvre de
ce dernière. Ils s’échangèrent un regard d’incompréhension.
- Dernière Chance Kawalski…
- Mais oui, c’est ça, toujours sur de s’en sortir jusqu’au dernier
moment. Sacré Jack ! Carter Tu l’ouvres cette porte !
- Je… Je… Oui.
L’anneau de métal se mis à tourner et le premier chevron
s’enclencha.
Jack et Sam se regardèrent dans les yeux :
- Sam… C’est quand tu veux…
Elle lui fit un sourire.
- A quoi vous jouez vous deux ?!
Kawalski voulu resserrer sa prise sur Sam mais à sa grande
surprise se fut le Major qui commença à desserrer l’emprise de son bras avec
sa main et dans le même mouvement elle repoussa l’arme pointé devant sa
tête avec son autre main.
Kawalski n’était pas le seul à être surpris. C’était
aussi le cas de Daniel et du Général. Eux, en plus voyez quelque chose que le
Colonel ne pouvait voir : les yeux de Sam…
- Mais comment… murmura Kawalski.
Il était dans l’impossibilité de résister à la force
que Sam exercé. Cette dernière tourna la tête ver son agresseur. Il put voir
ses yeux s’illuminer :
- Surprise ! Je me présente, je m’appelle Anis.
Sam/Anis ne lui laissa pas réagir. Elle lui donna un cou de
coude dans ventre. La violence du coup fit reculer Kawalski. Très rapidement le
Major se retourna et saisi le Colonel. Encore sous l’effet du coût qu’il
venait de recevoir, Kawalski ne réagis pas. Elle le projeta à travers la
pièce. Il s’écrasa sur le sol.
Au même instant, voyant que la situation leur échappait, le
docteur Carter, joua le tous pour le tous et voulu faire feu. Jack la pris de
vitesse et utilisa son gant pour la projeter. Le double de Sam vola à travers
la pièce et alla s’écraser contre le mur d’en face. Elle perdit
conscience.
Kawalski, à moitié assommé, tenta de se relever quand le
bout d’une lance Jaffa le dissuada.
- Je vous déconseille de bouger Major Kawalski. Dit Teal’C avec son calme
habituel.
Jack s’approcha de Kowalski et le menaça avec son Zat’.
Il parla avec sa voie de Tok’Ra :
- Je m’appelle Lamtash, et ne t’avise plus de menacer celle que j’aime !
- Lamtash, arrête ! Lui ordonna Anis. Je vais bien.
Lamtash laissa la place à Jack qui rengaina le Zat’. Sam
repris le contrôle de son corps.
- Colonel ! Major ! Pouvez vous m’expliquer !
Le général avait toujours son arme, et il la pointait ver
le couple.
- Vous avez dit que vous êtes Anis et Lamtash… ? Commença Daniel.
- C’est exacte Daniel Jackson. Continua Teal’C. Le Colonel et le Major
sont devenu des les hôtes de symbiote Tok’Ra…. Ne bougez toujours pas
Major Kawalski.
- C’est Colonel…
Teal’C leva un sourcil… Daniel repris :
- Mais je croyais que Anis est le symbiote de Freya.
- Elle est morte…
- Ho…
- Colonel, je croyais que Lamtash était le symbiote de Martuf.
- Exacte mon Général
- Mais il n’est pas mort en même temps que son hôte ?
- Non, les autres Tok’Ra on put le sauver. Et comme c’était le seul
symbiote disponible qui se rapprochait le moins d’un scientifique…
Sam ne put s’empêcher de sourire.
- Teal’C vous confirmez ?
- Oui Générale Hammond.
- Très bien vous m’expliquerez tous ça pendant le débriefing, mais
avant…
- Direction l’infirmerie. En avant les enfants.
Daniel s’approcha du Général :
- Pas de doute, c’est bien lui.
- Et au passage vous pourrez nous expliquer ça.
Il montra les doubles, inconscient, sur le sol.
Une voie se fit entendre par un micro.
- Mon Général, nous vous informons que les ordinateurs sont de nouveau
sous notre contrôles.
Le général se tourna ver la vitre du poste de
contrôle :
- Très bien. Libérer donc le personnel prisonnier.
- C’est fait mon Général.
Il se tourna ver SG-1 :
- Docteur emmener donc tous ce…
Le Général fut interrompu par le bruis de la porte des
étoiles.
- Quoi encore ! S’exclama Jack. Ils prennent jamais des
vacances !
Le Général s’adressa à l’officier dans le poste de
commande :
- Lieutenant, envoyer une escouade ici, vite !
L’homme ne pris pas le temps de répondre et fit un appelle
au micro, sommant l’équipe de sécurité de se rendre à la porte des
étoiles. Très rapidement, une dizaine d’homme arrivèrent. Six d’entre eux
se placèrent en position de tir pendant que les quatre autres écartaient
blessé et prisonnier. SG-1 se placèrent prêt à tirer.
Tout le monde attendit le septième symbole pour que la porte
s’ouvre. Mais quand il s’enclencha la porte ne s’ouvrit pas. Comme la
veille, les sept chevrons se désenclenchèrent et une nouvelle série de
symbole entra dans l’ordinateur.
- Mais …!? S’étonna le Major Carter
- Bons sang ! Ca veut dire quoi ?
- Que nous allons avoir de la visite d’une autre dimension, Colonel.
- Comment ça, mon Général ?
- Et bien Major cela va vous plaire. Nos agresseurs sont des voyageurs
dimensionnels.
Ils désigna les quatre prisonniers.
- Mais comment… ?
- Heu… Je crois qu’il faudra attendre un peu Sam. Constata Daniel.
En effet la porte s’ouvrit. L’Iris se ferma sous l’ordre
du Général. De la salle de contrôle le Lieutenant s’adressa à
Hammond :
- Mon Général, je reçois des transmissions…
- Un code d’identification ?
- Pas un mon Général. Plusieurs.
- Quoi ?
- Tous les codes des équipe SG, le code Tok’Ra, le code de Bratack…
- Mon général, personne ne peut avoir ses codes.
- Je sais Colonel.
- Personne de cette dimension. Fit remarquer Teal’C.
- Mon Général ne devrions nous pas ouvrir l’Iris ?
- Je ne suis pas sur que ce ne soit une bonne idée, Major. Colonel votre
avis.
Jack hésita. Il regarda Sam.
- C’est peut être pas forcement les copains à ceux la… Enfin j’espère,
murmura-t-il.
- Ouvrez l’Iris. Mais que tous le monde se tienne prés à repousser une
éventuelle attaque. Docteur Frasier, docteur Jackson, venez avec moi.
Inutile de prendre de risque.
Ils allaient sortir de la salle d’embarquement quand trois
personnes franchire la porte des étoiles. A leur vue, chaque homme et femme
armé de la pièce s’apprêta à tirer. La plus part des membre de l’assemblé
prononcèrent des phrases types propice à des situations surprenante :
- Non de dieu !
- Que diable… !
- Bon sang !
- Par tous les saints !
Même Teal’C ne put s’empêcher de lever un sourcil d’étonnement.
Ce n’était pas tout les jour que l’on se voit soit même, surtout
accompagné de son ancien maître Apophis.
- Mayburn ! S’écria Jack en menaçant le troisième visiteur avec
son arme.
- Bonjour Colonel O’Neill, puisque vous me connaissez nous gagnerons du
temps.
Jack entendit, dans sa tête, la voie de Lamtash qui lui
conseiller de regarder les épaules de son interlocuteur. Jack s’exécuta et
vie une étoile de Général de chaque côté.
Apophis s’approcha de Jack. Par réflexe il le menaça de
son arme.
- Bonjours à vous Colonel. Je suis ravit que vous soyez encore en vie dans
cette dimension.
- Ha par ce que je suis mort chez vous ?
- Hélas… Une perte tragique, si vous voulez mon avis.
- N’en faite pas trop.
- Heu, Jack…
- C’est pas le moment Daniel.
- Sa voie…
- Quoi, sa voix ?
- Elle est normal.
Maintenant que Daniel lui avait fait remarqué, il venait de
réaliser que la voie d’Apophis était normale, pas celle qu’a une personne
possédé par un Goa’uld.
- Vous êtes qui au juste.
- Je suis Amidis, l’hôte du symbiote Apophis. Représentant sur la Terre
des Goa’uld. Voici mon conseillé et ami, Teal’C.
Le Jaffa inclina la tête comme son double mais sur son
visage il se dessina un sourire que le Teal’C de ce monde n’exprimer que
rarement.
- C’est un honneur de faire votre connaissance Colonel O’Neill.
- Conseillé et ami… ?
Jack regarda en arrière et échangea un regard avec l’autre
Teal’C, celui ci avait les sourcil levé, signe de stupéfaction.
- Et enfin, bien qu’il semble que vous le connaissiez : le Général
Mayburn, chef du SG-C.
Le Général Hammond s’avança :
- Je suis le Général Hammond, et c’est moi qui dirige le SG-C dans cette
dimension.
- Nous vous connaissons Général, bien que votre double chez nous ne soit
pas aussi amicale.
- Que nous vos votre… visite.
- Nous sommes venu rechercher ses personnes.
Mayburn désigna les quatre prisonniers.
- Malgré le préjudice qu’elles nous ont fait subir, je n’ai pas l’intention
de les livrer au premier venu.
- Je comprends. Peut être quelques explications vous aideraient.
- Chouette une histoire…
- Colonel ! … Nous vous écoutons.
- Pour avoir voyager dans d’autre dimension nous s’avons que la plus
part du temps ma race se présente comme des dieu asservisseurs. Dans ma
dimension nous serions plutôt l’équivalent à vos Tok’Ra, bien qu’il
existe chez nous aussi, mais c’est assez compliqué… Bref, comme vous l’avez
compris dans mon monde, humain et Goa’uld vivent en bonne attente.
Malheureusement chaque race a ses extrémistes. Il existe un petit groupe de
personne qui refusent notre présence sur leur planète. Il utile le
terrorisme et d’autre méthode pour nous chasser.
- Et les autres méthodes c’est voler la technologie des autres ?
Demanda Daniel.
- Oui, grâce à ces connaissances ils espèrent trouver le moyen de nous
chasser ou de nous détruire. Cela fait quelque temps que nous savions qu’ils
utilisent leur porte pour voyager dans les dimensions. Malheureusement,
chaque fois que nous retrouvons leur trace ils sont déjà partie.
- Sauf que cette fois, nous les avons eux.
- Oui Colonel. Et nous vous en remercions. Nous espérons pouvoir les
ramener chez nous pour qu’ils soient jugés.
- C’est drôle, Mayburn mais je n’arrive pas à vous croire. Vous avez
des preuves de ce que vous avancez ?
- Je n’ai que ma parole et l’espoir que vous me croirez.
- Si on m’avait dit que j’entendrai Mayburn dire ça… Alors mon
Général, qu’est ce que l’on fait ?
- De toute façon s’ils restent ici ils seront victimes de l’Entropie,
autant qu’ils repartent chez eux.
- Je vous remercie Général.
Le Teal’C de l’autre monde souleva Carter toujours
inconsciente. Sha’Re et Daniel avaient repris conscience. Sous la menace de l’arme
d’Apophis, le couple ainsi que Kawalski s’approchèrent de la porte.
Le Général Mayburn tapota sur l’étrange bracelet qu’il
avait au bras gauche. Et la porte des étoiles s’ouvrit. Il n’y eut pas d’enclenchement
de chevrons, ni de geyser de lumière ; juste l’apparition de la flaque
bleu au milieu de l’anneau.
Teal’C passa la porte suivit des quatre prisonniers puis d’Apophis.
Mayburn allait passer la porte quant il fut interpellé par le docteur Frasier.
- Général, attendez. J’ai une question.
- Je vous écoute docteur.
- Qu’est il arrivé à Sam ?
- Vous parler de ses prothèses ?
- Oui, elle n’a pas voulu nous donner des détailles.
- Chez nous elle était responsable de l’étude des technologie inconnue.
Un jour son laboratoire à exploser, la blessant gravement et tuant son
mari, le Colonel O’Neill…
- Comme c’est original. Murmura Daniel.
- Des alliers à nous l’ont sauvé en lui implantant des prothèses
artificielle. Malheureusement, sa santé mental a était affecté…
- Je vois.
- Si cela peut vous rassurer, elle sera sans doute juger non responsable de
ses actes.
- C’est fou ce que je suis rassuré. Murmura Sam à Jack.
- Sur ce il faut que j’y aille. Au plaisir…
Il passa la porte qui se referma derrière lui.
- Bon, et bien voilà. Affaire réglée.
- Exacte Colonel. Vous pouvez donc vous rendre à l’infirmerie avant le
debriefing.
- Zut, moi qui espérais y échapper.
- Pas cette fois-ci Colonel. Je vais m’occuper tous particulièrement de
votre cas.
- Sam, au secours ! Elle veut me torturer !
Tout le monde se mis à rire, sauf Teal’C, cela va de soit…
FIN DE L’EPISODE.