Renaissance.
Auteur : Craby.
Adresse : Craby@Marmotte.net.
Genre : Aventure et romance.
Saison : Le plus tard possible.
Résumé : Ils sont de retour…
Spolier : Aucun, je crois.
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: blabla blabla et puis blabla…
Remerciement : Merci à tous ceux qui m’ont envoyé un petit mot ( vous pouvez continuer ça fait toujours plaisir ).
Notes : La chanson / poème en Goa’uld a été créé grâce au site "Kree" ( http://kree.free.fr/ ), la traduction donné est donc approximativement exacte, de plus certain mot sont inventé tout comme la grammaire et l’orthographe.
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Précédemment dans Stargate SG-1 :
La Grande Evasion : Dans un futur proche, la terre est sous le joug des Goa’uld. Dans le but de sauver leur monde, les derniers terriens libre, pour la plus part des anciens du SG-C, prennent d’assaut un laboratoire Goa’uld. Leur but : utiliser une machine à voyager dans le temps et changer l’histoire. Le Général Jack O’Neill, le docteur Janet Frasier et bien d’autres mourons pour permettre à Rachel O’Neill (fille de qui vous savez…) de rejoindre notre époque.
Le Jour ou le Futur rencontre son Passé : Rachel O’Neill arrive à notre époque et rencontre ses parents. Elle leur explique que l’intervention des humains lors d’une réunion des Grand-maîtres aura pour but de les unir contre la terre, menant celle ci à sa destruction. Conscient du danger et avec l’aide des Tok’Ra, les équipes SG décident de frapper fort et de prendre le risque de tuer les dirigeant Goa’uld. Grâce à l’aide de Rachel, les Grand-maîtres seront tuer mais celle-ci perdra la vie pendant la mission.
Jack et Sam briseront les barrières qui les séparent et Daniel et Janet commenceront à flirter ensemble.
Le Gouffre : Ce qui devait être, au début, une simple mission de sauvetage d’une scientifique Tok’Ra perdu sur une planète, soit disant désert, tourne au drame. Sam victime d’un système de défense anti-humain fait une chute dans un ravint. Elle retrouve la Scientifique Tok’Ra, qui n’est autre que Freya/Anis mourante, suite à une chute similaire à celle du Major. Sam gravement blessée accepte de devenir la nouvelle ôte d’Anis, Freya étant mortellement touché. De sont côté, Jack refusant d’abandonné Sam, prend la décision de devenir l’ôte du symbiote Tok’Ra Lamtash, pour pouvoir secourir celle qu’il aime. Jack, Teal’C, Jacob et le Tok’Ra K’lyn réussissent à libérer Sam prisonnière de primitifs locaux.
Miroir déformant : Pendant que SG-1 est en mission de sauvetage, le SG-C reçoit la visite de quatre voyageurs dimensionnels : Le docteur Carter, le Colonel Kawalski, le docteur Jackson et son épouse Sha’ré. Ceux ci prétendent voyager de dimensions en dimensions pour aider les autres mondes à lutter contre les Goa’uld en partageant les informations qu’ils ont pu récupérer lors de leurs voyages. Très vite, les voyageurs se veulent mal intentionnés et pillent les banques de données de la base. Heureusement le Général Hammond et le docteur Frasier soupçonneux, contrent leur plan. Le retour impromptu de SG-1 les empêchera de fuir.
Daniel demande à Janet de l’épouser.
Les Aléas du Quotidien : Sam et Jack subissent une évaluation pour s’avoir s’ils sont encore dignes de leur poste vu leur statut de Tok’Ra. Sam quitte l’armé et reste attaché au projet comme scientifique. Un nouveau membre la remplace dans SG-1 : le Lieutenant Natalia Romanov, une russe.
Jack demande à Sam de l’épouser. Sam demande du temps pour réfléchir.
Timeslide : SG-1, plus Sam, et envoyer à Washington pour mener une enquête sur un civil construisant une porte des étoiles artisanale. Sur place, la situation dégénère quant le NID intervient, tuant le civil et endommageant la pseudo-porte. Celle ci explose et envoie toute l’équipe environs six ans en arrière à moment de la première mission sur Chulack. Pour rentrer chez eux SG-1 doit utiliser la porte de Cheyenne Mountain. Ils sont confronter pour un bref instant à leur double du passé. Ils réussissent à renter à leur époque. Bien que l’histoire ne semble pas avoir été affectée par leur aventure, Sam s’inquiète des conséquences d’un tel voyage.
Mariage de Daniel et Janet. Sam accepte d’épouser Jack.
Le début de la fin : Le Sacrifice d’un Ange. Pour fuir une planète sur le point d’être détruite par une super-nova, SG-1 utilise un vaisseau spatial. Bombardé par des radiations toute l’équipe risque la mort. Daniel se sacrifie pour amener l’appareil à bon port. Mourrant, il subit son Ascension…
Le début de la fin : Nexus : Juste après l’enterrement de Daniel sur Abydos ; Sam et Jack sont agressés par un être nommé Nexus qui prétend vouloir venger les crimes qu’ils ont commis. Il laisse vingt quatre heures pour se préparer à mourir. De retour sur terre, Jack, Sam, Teal’C, Natalia, Jacob, K’lyn et Brat’ac décident d’affronter sur une autre planète le tout puissant Nexus. Pendant vingt quatre heures, nos héros se préparerons matériellement et physiquement. Jack et Sam en profiterons pour se marier, Natalia et K’lyn s’unirons d’une autre manière, Jacob et Hammond se souviendrons de leur combat passé, Teal’C et Brat’ac feront le point sur leur vie et Janet fera la paix avec elle-même.
Quelque heure avant l’expiration du délai toute l’équipe part sur la planète qui leur servira de champ de bataille.
Le début de la fin : Ragnarok : le combat qui oppose SG-1 à Nexus tourne vite en faveur de ce dernier. Malgré l’intervention de Thor et quelques vaisseaux Asgard ainsi que de Daniel revenu de son Ascension. C’est ce dernier qui permettra de découvrir que Nexus n’est autre que William O’Neill, le fils de Jack et Sam dans une autre dimension. Dimension créée lors de lors de leur voyage dans le temps. Sam et Jack livrent alors un combat psychologique à leur enfant pour lui faire entendre raison. Ce dernier réalisant ses erreurs décident de se racheter d’une manière bien étrange : il se sacrifie pour modifier la réalité…
Et maintenant, la suite…
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Base de Cheyenne Mountaine, 03h12.
Daniel se réveilla brutalement et se redressa. Il était en sueur. Encore un cauchemar, comme toutes les nuits depuis bientôt un mois. Il passa sa main sur son visage et regarda autour de lui pour essayer de se repérer. Il vit la lumière de son radio-réveille, celle ci indiquait trois heures du matin passé. Il se laissa retombé dans son lit et mit ses mains derrière sa tête. Il soupira. Combien de temps cela allait-il durer ? Ce n’était pas la première fois qu’il lui arrivait d’avoir des périodes de nuit agitées, mais jamais pendant une durée aussi longue. Quatre semaines… cela faisait quatre semaines que chaque nuit il se réveillait en sursaut. Et c’était toujours les mêmes images qui revenaient à chaque fois : un combat, des morts, sa mort… Et puis il y avait cette sensation d’absence ; ce vide qu’il sentait en lui comme s’il lui manquait quelque chose ou quelqu’un. Il n’avait pas ressenti cela depuis la mort de sa première femme, Sha’ré… Première femme ? Il n’avait été marié qu’une fois. Un lapsus involontaire ? Les psychiatres disent que les lapsus sont des expressions du subconscient. Est-ce que son cerveau tenterait de lui dire quelque chose ? Bien qu’il ne soit pas très motivé pour, il était peut-être temps pour lui de voir un spécialiste. Avec sa chance, il finirait enfermé dans un asile…
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Salle de Briefing, 08h16.
Daniel arriva à grande enjambé dans la salle. Déjà sur place se trouvé le Général Hammond et les trois autres membres de SG-1.
- Docteur Jackson, nous commencions à nous inquiéter.
- Désolé Général Hammond, ça ne se reproduira plus.
- Ce n’est pas bien grave. Asseyez-vous donc, nous venons juste de commencer.
Daniel s’exécuta et en profita pour salut d’un geste de la main ses partenaires. Jack se pencha vers lui.
- Panne d’oreiller ?
- Heu… oui…
- Ne vous en faites pas, cela arrive à tout le monde, même au plus grand.
- Sans doute…
- Daniel, je ne veux pas vous vexer, mais est ce que ça va ? Demanda Carter. Vous avez une de ces têtes.
- Le Major Carter à raison, Daniel Jackson, vous semblez fatigué.
- C’est juste que je me suis couché tard pour finir un livre que j’avais commencé. Ca ira mieux demain après une bonne nuit de sommeil.
Jack, pas convaincu :
- Si vous le dites.
- Très bien, dans ce cas, nous allons donc pouvoir poursuivre.
- Faite Général.
- Merci, Colonel. Docteur Jackson, avant que vous n’arriviez, je disais que la planète que vous allez visiter se nomme P3S125. La sonde n’a relevé aucune forme de vie au alentour de la porte et, chose qui à plus au Colonel, le décor que vous allez rencontrer ressemble à de la lande à perte de vue.
Jack se tourna vers Daniel :
- Vous avez entendu cela, Daniel ? Pas de sable ou de cailloux. Rien que de l’herbe.
- Oui, oui…
Jack, tout comme le reste de l’assemblée, fut surpris par l’absence de réaction de Daniel. Le Général reprit :
- A première vue une planète sans grande surprise. Analyses et prélèvements habituels.
- Sans surprise ? La dernière fois que nous avons visité une planète soit disant sans surprise…
Jack ne finit pas sa phrase. Il semblait ne plus s’avoir ce qu’il voulait dire.
- Mon Colonel ?
- Laissez tomber, Major. Continuez, mon Général.
- Je n’ai rien à ajouter. Vous pouvez disposer. Départ dans une heure. Rompez.
Tous se levèrent. Le Général sorti de la pièce. Teal’C et Carter s’approchèrent du Colonel. Daniel semblait ailleurs.
- O’Neill, de quelle planète parliez vous ?
- En faite, je ne sais plus ce que je voulais dire.
- P9T780… murmura Daniel.
- Vous dite ?
- Mmmm ?
- Vous parliez de P9T… je ne sais plus quoi.
- P9T780, mon Colonel.
- C’est ça.
- J’ai dit ça ?
- Oui vous avez l’avait dit ça
- Vous êtes sur ?
- Vous avec bien parlez de cette planète, Daniel Jackson.
- Merci Teal’C. Alors ?
- Alors quoi ?
- Alors, pourquoi parliez vous de P9T780 !
- Je ne sais pas, je devais penser tout haut.
- Et c’est tout ?
- Et bien oui. Que voulez-vous que se soit d’autre ?
Daniel sorti de la pièce, laissant ses partenaires pantois.
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Infirmerie, un peu plus tard.
Teal’C frappa à la porte déjà ouverte avant de rentrer dan la pièce. Le docteur Frasier leva la tête de ce qu’elle était entrain de faire.
- Teal’C ? Que puis je pour vous ?
- Bonjours, docteur Frasier. Je requière votre aide.
Janet, Surprise :
- Entrez donc, et racontez-moi.
Le Jaffa pénétra dans la pièce et referma la porte derrière lui.
- Depuis quelque temps, je suis victime d’un phénomène nouveau : Je fais des rêves.
- Des rêves ? Attendez, je croyais que les Jaffa ne rêvaient pas. Votre méditation…
- Kelnorim.
- C’est ça. Donc je croyais que le Kelnorim palliait aux bienfaits des rêves pour votre organisme.
- En effet, mais depuis quelque temps mes nuits sont agitées, comme vous dites sur terre.
- Et cela dur depuis combien de temps ?
- Environs deux semaines.
- Deux semaines ? Vous auriez du venir m’en parler avant.
- Je n’ai pas jugé que cela était utile jusqu’à présent.
- Il y a eu du changement c’est dernier temps ?
- L’intensité augmente tout comme le réalisme.
- Quel genre de rêve est ce ?
- C’est toujours le même, un combat qui semble sans espoir, des sacrifices et à la fin la mort.
- Ne pourrait-il pas s’agir de votre larve Goa’uld qui vous envoie ces images ?
- C’est ce que j’ai pensé au début, mais certaine de ces images sont remplis d’émotions de tristesse et de noblesse. Aucun Goa’uld n’est noble.
- Je vois. Je vais vous examiner. Allongez-vous ici.
Le Jaffa obtempéra.
- Pas de mission pour vous Teal’C.
Teal’C se releva.
- Ces examens auront lieu plus tard, O’Neill et les autres ont besoin de moi.
- Ha ! Restez allongé. Ils devront se passer de vous, cette fois. Et pas la peine de discuter c’est un ordre. C’est juste une mission de routine ils pourront bien se passer de vous cette fois.
Il soupira et se rallongea.
- Très bien.
- Je vais prévenir le Général.
Janet se dirigea vers le téléphone.
- Je vous remercie, docteur Jackson.
Elle se retourna et regarda Teal’C, interrogative :
- Docteur "Jackson" ? Demanda-t-elle.
Teal’c leva un sourcil…
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P3S125, plus tard :
Le septième chevron s’enclencha et la porte s’ouvrit. Les membres de SG-1, moins Teal’C, sortirent du vortex.
- Regardez-moi ça et respirez-moi cet air. Ce n’est pas beau tout cela ?
- En effet mon Colonel, c’est magnifique.
- C’est vos racines irlandaises qui vous font réagir ainsi ? Demanda Daniel.
- C’est possible. Mais avouez que c’est quand même plus agréable que du sable à tout bout de champ
A perte de vue ne se trouvaient que collines verdoyantes ainsi que quelques bosquets ici et là.
- Il ne manque que les murs et les moutons et on s’y croirait... Songea Daniel
- Dommage que Teal’C rate cela.
- Entièrement d’accord avec vous Carter. Mais vous connaissez le doc. quand elle a décidé quelque chose…
- En tout cas j’espère qu’il n’a rien de grave.
- Allons, pas d’inquiétude, vous le connaissez notre Teal’C. C’est du costaud comme on en fait plus. Il doit juste nous faire une baise de tension ou quelque chose comme ça.
Jack ne croyez pas la moitié de ce qu’il disait mais il tentait de rassurer Sam.
- Une baise de tension ?… Chez un Jaffa ?…
Jack laça un regard noir à Daniel :
- Vous n’avez pas quelque chose à faire, vous ?
- Heu…en faite…non…
Sam ne put s’empêcher de sourire. Le petit jeu entre ces deux là ne finirait jamais, et c’était tant mieux.
- C’est plutôt à moi de me commencer mes analyses, mon Colonel.
- Je vous en pris Carter, faites donc.
- A vos ordres.
Sam retira son sac à dos qu’elle posa parterre et s’agenouilla devant. Elle en sortie tout son attirail habituel destiné à ses diverses analyses.
O’Neill se tourna vers le docteur Jackson :
- Daniel, vous allez m’aider.
- A quoi faire ?
- Vous allez remplacer Teal’C.
- Pardon ?
- Vous et moi nous allons nous assurer que le secteur et sans danger pour Carter.
- Je ne prétends pas égaler votre connaissance en stratégie militaire mais il me semble que l’on voit parfaitement d’ici à une très longue distance…
- Daniel !
- Jack ?
- Taisez vous et venez !
Sam interrompit leur conversation
- Mon Colonel, Daniel, venez voir.
Les deux hommes s’approchèrent de la scientifique. Celle ci semblait regarder quelque chose au loin.
Elle ne répondit pas. Sam sortie d’une de ses poches ses jumelles et regarda avec dans la même direction.
- Carter ?
- Regardez, mon Colonel, là-bas, on dirait une sorte de structure.
Les deux hommes sortirent leur jumelle et imitèrent Sam. Assez rapidement ils aperçurent ce que leur coéquipière leur désignait. Il y avait belle est bien quelque chose un peu plus loin.
- Je croyais que l’UAV n’avait rien détecté. Remarqua Daniel.
- Et bien il semble qu’il est raté quelque chose. Carter, remballez votre attirail vous ferez vos analyses plus tard. Il semble que vous ayez trouvé une occupation pour Daniel.
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Pendant ce temps, au SG-C :
Teal’C était assis sur un lit de l’infirmerie. Il attendait patiemment le retour du docteur Frasier avec son stoïcisme habituel.
Une personne rentra dans l’infirmerie.
- Excusez moi je cherche le docteur Frasier.
A l’entrée de la jeune russe le Jaffa se leva.
- Le docteur Frasier ne devrait plus tarder. Je l’attends moi-même.
- Je vois.
- Vous semblez souffrante. Peut être devriez-vous vous asseoir ?
En effet, la jeune femme êtres très pâle et semblait avoir du mal à tenir debout.
Avec galanterie, Teal’C céda sa place. C’est à ce moment là que Janet Frasier arriva.
Elle s’arrêta voyant l’officier allongé.
- Lieutenant, un problème ?
- Je ne me suis déjà senti mieux, docteur.
- Il semble que le Lieutenant Natalia Romanov soit souffrante, docteur Frasier.
- Très bien, je vais vous examiner. Teal’C, les résultats de vos scanners tardent à arriver. Dés que j’ai des nouvelles, je vous tiens au courant.
Le Jaffa inclina la tête.
- Dans ce cas là, je vous laisse docteur Frasier. Bon rétablissement Natalia Romanov.
- Merci…
Teal’C sortie de l’infirmerie. Natalia semblait intriguée.
- Quelque chose ne va pas, Lieutenant ?
- Je me demandais : Comment connaissait-il mon prénom ?
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P3S125 :
SG-1 arriva en vue de la fameuse structure. Ce qui semblait être, de loin, très grand, ne devait pas mesurer plus de deux mètres de hauteur. Il s’agissait d’un bloc de forme rectangulaire dont chaque coté devait mesurer moins d’un mètre de large. Sa couleur était jaune pale. Il n’y avait aucune inscription ni marque quelconque dessus.
- Votre avis ? Demanda O’Neill.
- Les cotés sont trop réguliers pour que se soit une structure naturelle. J’en déduit que cette… chose, a été manufacturée par… quelqu’un.
- Des indigènes ?
- C’est plus que probable.
- C’est pas vrai !
Sam donna un coût dans son appareil d’analyse, dans le but de "le faire mieux marcher".
- Carter, un problème ?
- Aucunes données ne sont lisibles. Il y une sorte de champ magnétique qui détraque mes instruments.
- Ca viendrait de ce machin ? Demanda Jack en désignant le bloc jaune.
- Il y a des chances, mon Colonel.
- Vous croyez que cela peut être dangereux pour nous ?
- Difficile à dire pour le moment.
Par curiosité, Daniel toqua sur la structure. A son contact, celle-ci se mis à briller.
- Daniel qu’est ce que vous avez fait encore !
- Mais rien !
- Reculez tout le monde !
Par réflexe, Jack et Sam pointèrent leurs armes sur la structure. Mais le temps qu’il la mette en joue, celle ci avait arrêté de briller. Cependant il y avait une différence notable : Au lieu d’être opaque, elle était devenue transparente et ressemblait à un bloc de topaze.
- Bon sang !
- Ca alors !
- Incroyable !
Leur surprise fut encore plus grande quant il s’appercurent que le "bloc de topaze" contenait une personne : une femme. En tenue de Eve, il semblait que celle-ci soit prise dans la matière comme si elle était prise dans la glace. Il était difficile de s’avoir si elle était vivante. En tous les cas elle n’était pas consciente.
Gêné par son absence de tenue, Jack et Daniel détournèrent le regard. Sam, encore sous le coup de la surprise remarqua deux choses. La jeunesse de la "figé" et ses cheveux, blonds, comme les siens…
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Salle d’embarquement, un peu plus tard :
La porte des étoiles laissa passé le Colonel O’Neill. Le Général Hammond, surpris de le voir revenir seul vint à sa rencontre.
- Colonel, que se passe-t-il ? Où est le reste de votre équipe ?
- Toujours sur la planète, mon Général. Ne vous en faites pas tout va bien, mais nous avons fait une découverte. Je suis revenu vous expliquer ce qui se passe.
- Très bien suivez-moi dans mon bureau, vous m’expliquerez cela.
A ce moment là, Teal’C arriva dans la salle.
- O’Neill, est ce que tout va bien ?
- Parfaitement. Mais je vous remercie de vous en soucier. Si le Général n’y voit pas d’inconvénient, joignez-vous à nous, je vous expliquerais ce qui se passe.
- Suivez-moi, messieurs.
- Au faite Teal’C, et c’est analyse ?
- Il semble que je n’ai rien. Les analyses du docteur n'ont rien révélé.
- Ha ? Et bien… tant mieux.
- C’est quand vous voulez, messieurs…
- Nous vous suivons mon Général…
Les deux membres de SG-1 emboîtèrent le pas au Général.
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Infirmerie du SG-C, au même moment :
- Lieutenant, êtes vous vraiment sur de ce que vous me dites ?
Janet avait particulièrement appuyé sur chaque mot pour faire réaliser à son interlocuteur l’importance de sa question.
- Mais bien sur que je le suis !
La jeune russe avait pratiquement hurlé cette phrase. Elle était allongée sur un des lit et avait mis ses mains sur ses yeux pour cacher les réminiscences de larmes.
- Mais comment est ce possible ? Gémit-elle.
Janet ne répondit pas. Elle restait perplexe devant les résultats qu’elle avait devant les yeux.
Le téléphone sonna :
- Oui ?
- …
- Maintenant, mon Général ?
- …
- Très bien j’arrive.
Elle raccrocha, puis elle s’approcha de sa patiente.
- Lieutenant… Natalia… je dois vous laisser. Je vais dire à une infirmière de rester avec vous. Si vous avez besoin de quelque chose n’hésiter pas à le lui demander. En attendant essayer de vous reposer. Nous verrons ce que nous pouvons faire à mon retour.
La jeune femme ne répondit pas…
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Salle d’embarquement, quelques heures plus tard :
Teal’C et le Colonel O’Neill franchirent la porte en premier. Ils étaient suivit par deux membres de SG-8.
- Alors, Colonel ? Demanda Hammond.
- Ca roule…
- Tous c’est bien passé Général Hammond. Le bloc a parfaitement était chargé sur le véhicule de transfère. D’ailleurs il ne devrait pas tarder à arriver. Expliqua Teal’C.
- C’est bien ce que je disais : Ca roule…
Il firent face à la flaque bleue. Un véhicule à chenille en sorti. Dessus était posé le bloc de topaze. Il avait été recouvert d’une sorte de bâche, plus par pudeur pour la jeune femme que par protection, il faut bien l’avouer. Les docteurs Jackson et Frasier se trouvaient chacun d’un coté de l’appareil. Sam, plus en arrière, contrôlait le véhicule garce à un boîtier de télécommande. Le reste de SG-8 fermait la marche.
- Doucement, Sam. Tout doux.
- Daniel cela va faire cinq fois en une heure que vous me dite ça…
- Désolé…
Le Général Hammond pris la parole.
- Docteur Carter, êtes vous sur que nous ne prenons pas de risque ?
Jack et Teal’C tout comme Janet et Daniel ainsi que les membres de SG-8 s’échangèrent des regards d’étonnements. Ni Sam, ni Hammond, ne semblaient avoir fait attention à l’erreur de ce dernier.
- Nous ne pouvons être sur de rien, mon Général. Mais il met impossible d’approfondir mes recherches sans le matériel de la base.
Personne ; même pas Jack, n’osa faire remarquer au Général son mépris. Daniel mis cela sur le compte de l’inattention, mais pas Janet…
- Je vous rappelle, Major, que les Goa’uld ont déjà essayé de nous piéger par des moyens similaires. Teal’C qu’en pensez-vous ?
- C’est en effet une possibilité, Général Hammond. Mieux vos rester sur nos gardes.
- Très bien. Major, emmenez cet artéfact dans votre laboratoire, pour analyse. A partir de maintenant la base passe en mode d’autonomie total. Nous nous isolons du reste du monde jusqu’à ce que vous et le docteur Frasier êtes sur que ceci est sans risque.
- A vos ordres, monsieur.
- Très bien, alors au travail…
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Laboratoire du Major Carter :
Le Colonel O’Neill rentra dans le labo. Au passage il fut salué par les deux soldats en faction devant la porte.
- Alors mesdames, vous avancez ?
- Très lentement mon Colonel, il faut bien l’avouer. Pour l’instant tout ce que nous avons réussit à apprendre c’est que la jeune femme est toujours vivante.
- Vivante ? Vous en êtes sur Carter ?
- Pratiquement certain, Colonel. Repris le docteur Frasier. Elle génère de la chaleur et son cerveau et actif.
Jack regarda le bloc, perplexe. Sur celui ci était fixé ou diriger de nombreux appareils dont le Colonel n’avait pas la moindre idée de l’utilité.
- Mais je croyais que ce truc générait un champ magnétique qui empêchait tout votre attirail de fonctionner.
- Nous avons du adapter leurs fréquences pour qu’ils soient alignés avec celle de la structure, mais maintenant ils fonctionnent.
O’Neill prit son expression : " si vous le dites… " et il se passa la main sur la nuque pour essayer de dissiper une douleur. Janet le remarqua.
- Colonel, est ce tout va bien ?
- Mmm ? Ho, oui, juste un peu mal à la tête.
- Vous aussi ?
- Comment cela moi aussi ?
- Sam a elle aussi des maux de tête.
- Janet, ce n’est rien…
- Je suis pas d’accord. Il se peut qu’une exposition prolongée à ce bloc est des répercutions sur l’organisme.
- Mais vous, vous n’avez rien ?
- Je n’ai pas autant été exposé que vous. Suivez-moi à l’infirmerie, je vais vous faire passer des testes.
Et avant que les deux militaires n’eurent répliqué :
- Et ne m’obliger pas à vous l’ordonner.
- Vous ne pouvez pas faire ça ? Demanda Jack.
- Si, elle le peut… répondit Sam.
- Vous ne le feriez pas ?
- Ho si ! Elle le ferait…
- C’est bien ce que je craignais…
Jack souffla :
- Bon… Commença-t-il.
- Allons y… finit le Major
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Salle de Briefing, une heure et demie après :
SG-1, le Général Hammond et le docteur Frasier étaient réunis.
- Général, pourquoi cette réunion ?
- Sur la demande du docteur Frasier, Colonel. Et pour tout vous dire j’en ignore les raisons.
- Janet ? Interrogea Sam.
- Si j’ai demandé au Général de vous réunir, c’est que j’aimerais vous demander si vous n’avez pas remarqué s’il se passait quelque chose d’étrange dans la base ?
- Comment cela, docteur Frasier ? Demanda Teal’C.
- Ce n’est peut être que le produit de mon imagination, mais je pense plutôt que toutes ces années ici ont affiné mon sens de l’observation, mais j’ai l’impression qu’il y à quelque chose qui ne va pas.
- J’ai du mal à vous suivre.
- Et bien j’ai commencé par noté de nombreux lapsus, erreurs et autre "fourchage de langue" de nombreuses personnes…
- Comme le Général en salle d’embarquement tout à l’heure ?
Hammond eu un regard d’incompréhension envers Daniel.
- Ou comme vous, Teal’C et temps d’autre.
- Se tromper cela arrive.
- C’est vrai Colonel. Mais à ce niveau ?
- Et c’est tout, docteur ?
- Non mon Général. Si je n’y avais que cela, je n'aurais rien dit. Comme le dit le Colonel, tout le monde peut se tromper.
- Mais ?
- Mais, il faut rajouter à cela deux événements particulièrement troublant. Premièrement, les rêves de Teal’C…
Des regards interrogateurs se portèrent sur le Jaffa.
- Attendez, mais les Jaffa ne rêvent pas.
- C’est exact, Major Carter.
- Dans ce cas là qu’est ce que vous êtes aller raconter au doc., Teal’C.
- La vérité O’Neill. C’est dernier temps, je fais des rêves.
- Quel genre de rêve ? Demanda Daniel intrigué.
- Toujours le même, Daniel Jackson : Un combat héroïque, des morts… ma mort.
Daniel était troublé.
- Docteur Jackson ?
- Cela fait quelque temps que… je fais un rêve similaire.
- Quelques temps ?
- Un mois environs.
- Les miens sont plus récents.
- Coïncidence ?
Un silence se fit. Leurs expériences leurs avaient déjà mainte fois prouvées qu’il n’existait pas de coïncidences.
- Vous parliez de deux choses troublantes, docteur.
- En effet Général. Mais comme je suis tenu par le secret médical je ne vous donnerais pas l’identité de la personne dont je vais vous parler. Il y à quelque temps, un soldat est venu me voir parce qu’elle se sentait souffrante…
- Elle ?
- Oui, Colonel, "Elle". Après quelque analyse il s’est avérer qu’elle était enceinte…
Daniel retira ses lunettes et Teal’C leva un sourcil.
- Le problème est qu’elle m’a confié qu’elle n’avait jamais connu d’homme.
- Bien sur. Et elle est tombée enceinte par la volonté du saint esprit ?
- Colonel !
- Ne se pourrait il pas que l’on est abusé d’elle dans un moment de… faiblesse ? Demanda Daniel
- Quant elle était saoul, par exemple. Rajouta Jack.
- C’est ce que j’ai pensé aussi Daniel. J’ai donc, avec son consentement, vérifier.
- Et ?
- Pour reprendre les paroles du Colonel : " Elle est tombée enceinte par la volonté du saint esprit ".
- Janet, la science actuel permet parfaitement de concevoir une grossesse toute en conservent sa virginité.
- Je sais Sam, mais une telle opération ne lui aurait pas échappé.
- Et surtout pourquoi faire cela ?
- Bonne question.
- Je sais que toutes ces affaires ne semblent pas liées…
- Mais cela fait beaucoup de coïncidences.
- En effet, mon Général.
Jack pour Sam, tout en exerçant une pression sur ses yeux avec ses doigts pour dissiper la douleur de son mal de tête :
- Samy, rassurez-moi, le docteur Frasier ne parler pas de vous ?
Sam rougissant
- Voyons, Jack, bien sur que non !
Le reste des membres de l’assemblée les regardèrent éberlué.
- Quoi ? Demandèrent-ils en même temps.
- Samy ? Demanda Daniel à Jack.
Le Colonel le regarda sans comprendre de quoi il parlait. Sam non plus d’ailleurs.
- Vous donnez au Major Carter un petit nom maintenant ?
- De quoi parlez-vous ?
- Vous ne venez pas de l’appeler "Samy", à l’instant ?
- Bien sur que non !
- Ho si !
- Mais non !
- Si !
- Non !
- Daniel Jackson dit vrai, O’Neill.
- Teal’C, vous devez vous tromper.
- Je crains que non, Major Carter.
- Mais c’est impossible…
- Ca suffit ! Ordonna Hammond.
- …
Janet repris :
- Rajoutons à cela des mots de tête pour le Colonel et le Major…
- En parlant de cela, les résultats de leurs analyses donnent quoi ?
- Rien du tout, mon Général, ils sont en parfaite santé. Et le fait que se soit les deux seules personnes soufrant de maux de tête parmi toutes celles qui se sont approchées du bloc, j’en déduit que l’on ne peut pas tenir responsable de leur douleur.
- Très bien, récapitulons : Nous avons des lapsus, des rêves étranges, des maux de tête et une femme qui tombe mystérieusement enceinte. Autre chose à signaler ? Demanda Hammond.
Personnes ne répondit. Les regards se croisèrent à la recherche d’une éventuelle personne ayant quelque chose à dire. Jack tapotait nerveusement la table.
- Colonel, auriez vous quelque chose à nous dire.
- Mmm… c’est possible.
Hammond ne dit rien. Il attendait que Jack continue.
- Il à quelques jours, je chantais sous ma douche…
- Colonel ne pourriez vous pas être sérieux ?!
- Ha, mais je le suis mon Général ! Laisser moi finir.
Hammond, pas convaincu :
- Je vous en pris.
- Je disais donc : Je chantais sous la douche…
- J’imagine la scène… Se moqua Daniel.
Sam ne put s’empêcher de sourire
- Daniel !
- Docteur Jackson !
- Désolé…
- Donc j’étais sous ma douche et je me suis mis à chanter…
Il attendit un instant pour voir si on l’interrompe une fois encore.
- …Quand je me suis aperçu ce que je chantais.
- Et ?
- C’était du Goa’uld…
- Du Goa’uld ?
- Oui, Daniel, c’est ce que je viens de dire.
- Colonel, depuis quand connaissais vous une chanson en Goa’uld ?
- Et surtout comment s’avais vous que c’était du Goa’uld ?
- Aux deux questions je répondrais : Aucunes idées.
- O’Neill, si Daniel Jackson et moi-même pouvions entendre cette chanson nous pourrions la traduire et ainsi en apprendre plus.
- Teal’C, vous voulez que je chante ? Là ? Ici ? Maintenant ?
- Nous nous contenterons des paroles, Colonel.
- Mon Général…
- Colonel, ne m’obliger pas à vous l’ordonnez.
Jack soupira. Il commença à décliner son poème. Daniel et Teal’C traduisaient :
- Mek Chaapa'ai Tel Mah, ( A travers la porte des étoiles, mon amour),
Tol Tal pat ryn Rin'Tel'Noc ( Comme une étoile filante, tu pars loin de moi),
Onni Obel'tac Kelt Soey Tal'ac ( Toi partie, me voici comme morte),
Korush'Nai So Tel Mah ( Revient moi, mon amour),
Tell Mah Altem Shree (Notre amour ne s'achèvera pas dans la mort),
Tell Mah ke Kel'Ma Kalak ( Notre amour est le sanctuaire de nos âmes ),
Tel Mah Kel'Ma'Te (Mon amour, je t’aime),
Sha Ni Mel Kal (Je veux encore te le dire),
Korush'Nai Mek Chaapa'ai (reviens-moi à travers la porte des étoiles),
Kel Tel Mah ? (Ou es tu, mon amour ?),
Pendant que Jack récité son poème, lui et Sam se regardaient droit dans les yeux. Tous leurs sentiments étaient transmis par ce regard.
Et puis il se passa quelque chose d’étrange, Jack s’arrêta et c’est Sam qui pris la suite :
- Tell Mah Altem Shree (Notre amour ne s'achèvera pas dans la mort),
Tell Mah ke Kel'Ma Kalak ( Notre amour est le sanctuaire de nos âmes ),
Yunak'Anakayarum Shal'Tek ? ( Pourquoi n’es tu pas rentré ?),
E Remoc (C’est la fin du voyage),
Ona Rak Mall Kelt ( Je t’offre ma vie, me voici),
Mak'ola'Jak'Una She'oli'Mac'ik O Tai (Il est temps pour moi de me présenter à toi),
Tell Mah Altem Shree (Notre amour ne s'achèvera pas dans la mort),
Tell Mah ke Kel'Ma Kalak ( Notre amour est le sanctuaire de nos âmes ).
Se fut le silence. Tout le monde regardait Sam, la bouche ouverte pour certain. Elle est Jack ne disaient et continuer de se regarder droit dans les yeux.
- Sam… Comment connaissez-vous cette chanson ?
Sam, toujours le regard dans les yeux de Jack.
- Je ne sais pas Janet. C’est venu comme cela.
- Woa… En tout cas, c’était magnifique.
- Je suis d’accord avec Daniel Jackson.
- Et vous Colonel O’Neill, d’où tenez-vous ce récit ?
Jack, obnubilé par Sam ne répondit pas.
Jack détournant enfin le regard de Sam :
- Pardon mon Général. Et non, je ne sais pas d’où je tiens cette chanson.
Se retournant vers Sam.
- Et vous Car… Bon Sang !
- Quoi ? Demanda Sam..
Encore une fois, ce fut l’étonnement général. Tous les regards étaient sur le Major Carter. Teal’C leva un sourcil, Daniel regarda par-dessus ses lunettes et le Général avait la bouche grande ouverte.
- Mais qu’est ce qu’il y a ?
- Sam, vos cheveux… Expliqua Janet.
- Mes cheveux ?
Elle porta sa main sur ses longs cheveux blonds. Long ? Ses cheveux qui étaient juste là coupé court lui arrivaient à présent sur les épaules.
- Mais qu’est ce que cela signifie ? Demanda Hammond.
- J’aimerais bien le savoir.
- Major Carter, comment vous sentez-vous ?
- Parfaitement bien mon Général.
- Vous ne sentez aucune différence ?
- Et bien non.
- Ca vous va très bien les cheveux longs, Sam.
- Merci, Jack.
- Ils remettent ça…
- Pour ma part je continue à penser que le bloc qui contient la jeune fille et la solution à nos problèmes.
- Qu’est ce qui vous fait dire cela Teal’C.
- Je ne sais pas Général, une intuition.
- De toute façon, c’est notre seule piste pour l’instant.
- Docteur Frasier, Major Carter remettez vous au travail.
- A vos ordres. Répondirent-elle.
- Et je veux que tout événement étrange me soit rapporté. Même s’il semble sans intérêt.
- Bien, monsieur.
- Vous pouvez disposer.
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Infirmerie, peu après :
- Docteur Frasier vous arrivez juste à temps. J’allais vous appeler.
- Que se passe t-il Malcom ?
- J’étais entrain de rentrer dans l’ordinateur les résultats des derniers examens du Colonel O’Neill quand certains chiffres mon surpris.
- Vraiment, lesquels ?
- Ceux ci.
L’homme désigna sur l’écran d’ordinateur devant lequel il était assis, une série de chiffre à son supérieur.
- Mais c’est impossible, vous avez du vous tromper en les relevant.
- Je crains que non. Comme cela m’a intrigué, j’ai vérifié trois fois. D’ailleurs voici votre feuille de note.
Malcom tendit une feuille à Frasier. Elle put constater que les résultats étaient les mêmes.
Elle partit en trombe de l’infirmerie.
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Labo du major Carter, au même moment :
Un sifflement strident remplissait toute la pièce. Sam utilisait une sorte de perceuse pour entamer la matière jaunâtre du bloc.
Jack arriva dans la pièce.
Elle n’entendit pas.
Suite au manque de réaction du Major. Jack s’approcha d’elle et lui posa la main sur son épaule. Sam surprise sursauta et arrêta ce qu’elle était entrain de faire.
- Mon Colonel ? Vous m’avez fait peur.
- Désolé.
Sam ôta ses lunettes de protection et les posa sur une table ainsi que sa perceuse.
- Je peux vous aider, mon Colonel ?
- Et bien…Que faite vous au juste ?
- J’essais d’extraire un échantillon de cette matière pour pouvoir l’analyser.
Jack regarda là où Sam avait percé. L’endroit était lise de toute agression.
- Ca n’a pas l’air de marcher.
- En effet. J’utilise une mèche de Titane et je n’ai même pas raillé la surface. Il faudrait en concevoir une à base de Naquada pour espérer que sa densité sera…Désolée, je vous embête avec mes explications.
- Mais non…
- Je suppose que vous n’êtes pas venu me voir pour savoir ou j’en étais ?
- Pas uniquement. Pour tous vous dire… en faite je voulais parler de cette chanson…
- …dont nous connaissons tous les deux les paroles ?
- C’est ça.
- Je sais, c’est étrange.
- C’est le moins que l’on puisse dire.
Ils ne dirent plus rien. Leurs yeux étaient de nouveaux plongés dans ceux de l’autre.
Au bout de quelques secondes Jack réussit à détourner son regard.
- Je vais vous laisser, je vous fais perdre votre temps.
Il commença à se diriger ver la sortie.
Jack s’arrêta mais ne se retourna pas.
- Oui Carter.
- Vous ne me faites jamais perdre mon temps…
Il sourit et jeta un regard furtif ver elle.
Jack ne fit qu’un pas vers la porte, quant celle ci s’ouvrit. Teal’C pointa son Zat’ sur O’Neill. Il était suivit de Janet, Daniel, le Général ainsi que deux autres soldats.
- Ne bougez plus, O’Neill. Ordonna le Jaffa.
- Teal’C, qu’est ce qu’il vous prend ?
- Reculer Major Carter, cet homme est dangereux.
- Dangereux ? Mais qu’est ce que vous me racontez ? Interrogea O’Neill.
- Mon Général ? Questionna Sam.
- Faites ce que vous dit Teal’C, Major.
Par réflexe militaire, Sam recula.
- Pourrait-on m’expliquer en quoi je suis si dangereux.
Faisant comme si c’était Sam qui avait posé la question Janet lui répondit.
- Ce n’est pas le Colonel O’Neill, Sam, c’est un Goa’uld.
- Quoi ?! S’écrièrent en même temps les deux officiers.
- C’est une plaisanterie ?!
- Mais c’est impossible je l’aurais senti, et Teal’C aussi.
- Exacte ! Merci Major. Vous voyez…
- Dans ce cas "Colonel O’Neill", expliquez-moi pourquoi vous avez du Naquada dans le sang ?
Jack et Sam restèrent perplexe. Daniel repris :
- Ecoutez, à mon avis Jack doit être possède par un jeune Goa’uld. Ca expliquer ses mots de tête. Souvenez-vous, c’est ce qui était arrivé au Major Kawalski. C’est peut être encore notre Jack, du moins pour l’instant.
- C’est possible Daniel Jackson, mais dans ce cas là, je vous rappelle que le Major Carter est victime des mêmes maux de tête.
- Quoi ?! S’écrièrent une nouvelle fois les deux officiers.
- J’aimerais bien que l’on me dise comment mes deux meilleurs officiers ont put être parasité par des Goa’ulds ?
- Je ne sais pas Général Hammond.
- Dites-moi, l’idée ne vous est pas venue que Janet ait put se tromper. Lança Jack sur un ton sarcastique. Sans vouloir vous offenser, doc.…
- Nous allons vite être fixés. Colonel, Major suivez-nous sans résistante juste à l’infirmerie. Là vous passerez un scanner et nous serons à quoi nous en tenir.
- Bonne idée, direction l’infirmerie.
- C’est la première fois que je vous vois si pressé d’y aller.
- Ho ! Ca va, vous…
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Quelques tests plus tard…
La porte de la cellule se referma. O’Neill soupira et alla s’asseoir sur le lit de sa cellule.
- Le lit de votre cellule est confortable, Carter ?
- J’ai vu pire, mon Colonel.
- Je m’en doute.
- Dites-moi, mon Colonel, comment puis-je être sure que je vous parle vraiment et pas à un Goa’uld ?
- Personnellement, je sais que malgré ce que certifient les testes de Frasier, je n’ai pas un serpent dans la tête. Donc j’imagine qu’il va de même pour vous, et qu’à votre place je me dirais la même chose. Bref nous sommes bien nous même.
- Vu comme cela…
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Mess des officiers :
Daniel, Teal’C et Janet étaient assis autour d’une table :
- Le Général à prévenu le père de Sam ? Demanda Daniel.
- Il est entrain de le faire. Répondit Janet.
- J’ai toute confiance en les Tok’Ra, ils pourront ôter les symbiotes qui parasitent O’Neill et le Major Carter.
- Sans doute, mais je ne comprends toujours pas comment ils ont put être infectés.
- Je l’ignore Daniel Jackson.
- Ce n’est pas logique. Nous n’avons rencontré aucun Jaffa ni Goa’uld au cours de nos deux dernières missions. A quel moment ont-ils été en contacte avec ces trucs ?
- Et surtout comment cela a échappé au docteur Frasier ?
- Vous touchez un point sensible, Teal’C. Répondit-elle. Leurs analyses étaient parfaites au retour de vos deux missions et même lors des testes que j’ai effectué pour leurs maux de tête, il n’y avait rien.
- Mais dans ce cas la, comment avez vous sus qu’il avait du Naquada dans leur sang ? Interrogea le docteur Jackson.
- C’est bien là le problème. Quand j’ai regardé leurs analyses la première fois, il n’y avait rien. Une chose pareille je l’aurais forcement vu. Ce n’est que plus tard, en regardant à nouveau les résultats, que ceux-ci avaient changé.
- On aurait falsifié vos documents ?
- Ca n’as pas de sens, pourquoi falsifier ces documents ?
- Et surtout par qui ?
- Par quelqu’un qui voudrait nous faire réaliser que nous avons deux Goa’uld dans la base.
- Etes vous sur que se soit des Goa’uld, docteur Frasier ?
- Teal’C, vous avez vu comme nous les scanners, ils sont tous les deux un symbiotes accrocher autour de la colonne vertébrale.
- Je ne remets pas en cause que le Colonel et le Major portent des symbiotes, mais s’agit-il vraiment de Goa’uld ?
- Des Tok’Ra ?
- Mais c’est ridicule. Même si des Tok’Ra ont investi nos amis, ils sauraient pertinemment que nous sommes leurs alliers.
- Sauf s’ils ont perdu contacte avec les leurs depuis longtemps.
- Mais la mémoire de Sam et Jack devrait leur dire que nous sommes des amis.
- Et puis rien ne prouve que se soit des Tok’Ra.
- Si docteur Frasier, le poème…
- Comment cela ?
- De toute mon existence de Jaffa, je n’ai jamais vu aucun Goa’uld s’intéresser à la chanson et à la poésie. Pour eux c’est une perte de temps.
- Contrairement au Tok’Ra.
- Exactement…
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Cellule de Sam et Jack :
Allongé sur son lit, Sam s’était assoupie. Elle se réveilla brutalement et ouvrier en grand ses yeux. Ceux-ci s’illuminèrent.
Elle parla avec sa voie Tok’Ra :
Jack était allongé sur son lit les bras croisés derrière sa tête.
"Sam" se redressa de son lit et secoua la tête pour se réveiller.
- Ca va mieux ? demanda t-il.
Anis laissa la place à sont ôte :
- Ho, mon dieu ! Jack, le monde a été altéré !
- Je sais chérie, pendant que tu dormais j’ai eu une longue conversation avec Lamtash.
Jack se leva et se rapprocha de la grille qui les séparer. Sam fit de même. S’il n’y avait pas eu les lasers qui entouraient les barreaux…
- Par contre j’aimerais s’avoir pourquoi sommes nous redevenue "normaux" et pas les autres ?
- Cela doit être du à la présence de Rachel… Ca y est, je me souviens de son nom !
- Moi aussi… Nous avions oubliez le nom de notre propre fille !
- En faite, nous n’avons rien oublié. Nous ne l’avons tout simplement jamais rencontré.
- Quoi ?
- Quand William / Nexus s’est jeté dans le vortex il a du modifier la substance même de la réalité pour créer un monde ou il n’intervenait pas.
- Mais quel rapport avec Rachel ?
- Rachel est un anachronisme temporel…
- Sam…
- Quant William a modifié la réalité il n’a pas put l’inclure dedans. Sans doute parce qu’elle vient d’un futur qui est maintenant une dimension alternative. De ce faite William n’a pas put l’affecter totalement.
- Mais elle est morte…
- Pas dans le monde qui l’a créé, puisque nous ne l’avons jamais rencontré.
- Dans ce cas là elle ne devrait pas être ici
- Si, puisqu’elle vient d’une autre dimension. C’est comme si notre réalité était une sorte de jeux de construction à plusieurs possibilité que William montait et remontait à volonté et que Rachel soit une pièce importée dont il ne s’avait que faire.
- Attend, si le monde redevient comme avant elle moura à nouveau.
- C’est… C’est possible… Mais ce n’est pas certain. Il est possible qu’elle soit réincorporer à notre monde. Je pense que c’est elle qui fait que la réalité tente de se redéfinir.
- Elle serait devenue une sorte de nouveau Nexus ?
- C’est une possibilité.
- Donc si ont la sort de là, tout redeviendra comme avant ?
- Théoriquement.
- Théoriquement…
- Il faudrait que nous sortions d’ici d’abord.
A ce moment là la porte de la pièce s’ouvrit :
- On demande une évasion ?
- Romanov ?
- Natalia ?
La jeune femme rentra en tirant le corps d’un garde inconscient. Elle referma la porte.
- Lieutenant, que faites-vous ?
- Sauf votre respect, mon Colonel, je crois que cela se voit. Je vous fais évader.
Jack désigna à sa subordonnée quelque chose en hauteur.
- Souriez, Romanov, vous êtes filmés…
- Ne vous en faites pas, monsieur. L’émission était tellement ennuyeuse qu’ils se sont endormis…
- Romanov, vous s’avez que vous allez délivrer deux dangereux Goa’uld ?
- Je croyais que les Tok’Ra détestaient qu’on les appelle ainsi ?
- Lieutenant, si je n’étais pas marier, je vous embrasserais.
- Heureusement pour moi, vous l’êtes… Et maintenant reculer.
Elle pointa un Zat’ sur les barreaux et tira. Le système électronique grilla. Sam et Jack n’eurent plus qu’à pousser un coup sec sur la porte de leur cellule pour l’ouvrir.
La première action du couple fut de se jeter dans les bras de l’un de l’autre et de s’embrasser passionnément.
Natalia se racla la gorge pour les rappeler à l’ordre. Ils se séparèrent
Elle leur tendis un Zat’ chacun.
- Je peux s’avoir comment vous avez eu ça ? Demanda Jack, en désignant l’arme.
- J’ai racontais une histoire "assommante" aux gardes de l’armurie…
- Je vois.
- Quel est la suite du programme ?
- Il faut aller à mon laboratoire pour libérer Rachel de sa prison.
- Et comment contez vous faire ?
- J’ai ma petite idée. Répondit Jack.
- Dites-moi Natalia… commença Sam.
- Comment j’ai su pour vous ?
- Oui.
- Je ne sais pas vraiment. J’ai l’impression de me souvenir de "avant" petit à petit.
- Mais pourquoi vous et pas les autres ?
- Je suis un peu aidé, je pense…
Elle pointa du doigt son ventre.
- C’est vous qui… ?!
- Mon Colonel, pourrions nous parler de ma vie privée un peut plus tard ?
- Vous avez raisons. La disparition des gardes ne passera pas inaperçu longtemps.
Ils sortirent en catimini de la pièce.
Nos trois héros réussirent à franchire sans trop de mal tout le niveau et à arriver à un ascenseur. Sam appuya sur le bouton du niveau de son labo. Malheureusement, pendant la descente, l’alarme retenti.
- C’est pas vrai !
- Mon Colonel, vous et le docteur vous allez au laboratoire je vous couvre.
- C’est très courageux de votre part Lieutenant mais personne ne se sépare. Nous restons tous ensembles.
- Colonel…
- On ne discute pas cet ordre Lieutenant !
- A vos ordres.
A la sortie de l’ascenseur plusieurs gardes armés attendent prêts à tirer sur l’ordre de Hammond.
- Ne tirez que si je vous en donne l’ordre. Je les veux vivant !
La porte s’ouvrit. L’ascenseur était vide…
A l’étage en dessus, celui du labo de Sam, les trois compères avançaient en neutralisant les gardes qui leur faisaient obstacle.
- O’Neill ! Cria une voie derrière eux.
Tous reconnurent la voie de Teal’C. Ils s’arrêtèrent. Jack se retourna lentement. Teal’C pointait un Zat’ sur eux.
- Ne m’obliger pas à tirer, O’Neill. Posez vos armes.
Jack s’adressa aux deux femmes :
- Sam, continuez, vite…
- Pas question Jack. Comme tu l’as dit, personne ne se sépare.
- O’Neill, votre arme.
- Non, Teal’C.
Jack baisa son arme.
- Aidez-nous.
- Nous allons vous aider. Les Tok’Ra viennent d’arriver, ils vont pouvoir retirer le Goa’uld qui est en vous.
- Les Tok’Ra c’est nous ! Et vous le savez !
- Teal’C, c’est vrai, écoutez-le. Rajouta Natalia.
- Je suis certain qu’au fond de vous, vous s’avez que quelque chose ne va pas. Vous l’avez dit vous-même. Vos rêves vous l’ont dit.
- Ecoutez là, mon ami…
Teal’C ne répondit rien. Il se contenta de les fixer son arme braquée sur eux.
Il tira.
Le coup ne toucha pas Jack.
Il ne toucha pas non plus Sam.
Il évita aussi Natalia.
Le soldat qui arrivait derrière eux tomba inconscient.
Teal’C baissa son arme.
- Pff… Content de vous retrouver.
- Moi aussi, O’Neill. Dépêchons-nous, nous n’avons pas beaucoup de temps avant que ces couloirs soient envahis de soldats.
Le quatuor repris sa course.
Quelques instants plus tard :
- Nous y sommes. S’écria Sam.
La fin de sa phrase fut couverte par le son d’une détonation d’une arme. La balle siffla et alla se loger dans le mur. Ils se précipitèrent dans le labo. Les premiers soldats arrivaient derrière eux. Teal’C et Natalia se placèrent de chaque coté de la porte et firent feu.
- Ha ! Vous voilà. J’ai failli attendre.
- Daniel ? Mais qu’est ce que vous faite là ?
- Ca se voit non ?
Le docteur Jackson était entrain de finir de ligoter les deux gardes qui se trouvaient quelques instants auparavant en faction devant la porte.
Daniel reprit :
- Je s’avais que vous viendrez ici. D’ailleurs, où pouviez vous aller ?
- O’Neill ! Je ne sais pas ce que vous contez faire, mais faite-le vite. Nous allons bientôt être débordés !
- Daniel, donnez leur un cou de main !
Jack lança son arme au docteur.
A l’extérieur la voie de Hammond se fit entendre :
- SG-1, rendez-vous ! Nous ne souhaitons pas vous blesser !
- C’est ça cause toujours. Daniel, qu’est ce que vous attendez ?
L’Archéologue alla porter assistance à Teal’C et au Lieutenant.
Sam et Jack étaient à pressent d’avant le bloc jaune. Sam retira la toile qui cachait sa fille.
- Et maintenant ? Demanda t-elle.
- Tu as tout essayé pour la faire sortir de là ?
- Toutes les matières terrestres et extra-terrestres non pas réussies à l'entamer.
- Mais lui asti demandé de sortir ?
- Quoi ? mais c’est…
Elle ne finit pas sa phrase. Elle regarda Jack puis Rachel :
- Après tout, pourquoi pas…
Ils s’approchèrent et posèrent une main sur le bloc
- Sort de là, ma fille nous t’attendons. Commença Jack.
- Viens Rachel, tes parents veulent que tu les rejoignes. Finis Sam.
- Jack !!! Hurla Daniel, tout en se baissant pour éviter les balles qui fusaient.
Rien ne se passa.
- C’était peut être pas une si bonne idée, finalement…
- Ne dit pas ça, Jack. Nous avons essayé au moins.
- Arrêtons là, avant qu’il y ait des blessés.
Il s’approcha de ses trois amis.
- Arrêtez tout. Nous nous rendons.
- Quoi, mais Jack…
- C’est bon Daniel, nous avons joué et avons perdu.
- O’Neill, je suis sur qu’il reste une solution.
- Il a raison, mon Colonel.
- Non, Natalia, inutile de vous faire tuer pour rien.
- C’est pas vrai ! Ragea Daniel.
- Nous nous rendons ! Cria Jack.
Teal’C et Romanov sortirent de leur position et déposèrent leurs armes. Les premiers soldats rentrèrent dans le labo. Daniel et Sam firent de même.
- Les mains sur la tête. Ordonna un militaire.
A l’exception de Teal’C, ils s’exécutèrent.
Hammond arriva. Il était accompagné du docteur Frasier, de Jacob et d’un dénommé K’lyn ; dont la présence ne laissa pas Natalia indifférente.
- Mais à quoi jouez-vous ?! Si je peux comprendre un tel comportement de la part du Colonel et du Major qui sont sous l’influence d’un Goa’uld, qu’elle est votre excuse ? Docteur Jackson ? Teal’C ? Lieutenant Romanov ?
- Ecoutez mon Général…
- Colonel, je ne vous ai pas adressé la parole ! Si c'est bien vous et pas autre chose…
Teal’C pris la parole :
- Nous pensons que le Colonel et le docteur ne sont pas Goa’uld mais des Tok’Ra.
- Des Tok’Ra ? C’est ridicule et impossible.
- Papa…
- Mon Général, si vous me laissiez parler, je…
Un craquement similaire à du verre qui se brise interrompis le Colonel. Tout le monde se tourna vers le bloc de topaze. Celui ci était entrain de se lézarder.
Jack :
- Mieux vaut tard que jamais…
- Mais qu’est ce qui se passe encore ? Demanda Hammond.
- La réalité va reprendre ses droits… Enfin j’espère…
Très rapidement, des fissures apparurent ici et là sur la matière jaunâtre. Guidés par une sorte d’instinct de survie Sam Jack et tous ceux qui étaient près de la prison de Rachel, reculèrent.
Sam ne put pas finir sa phrase que le bloc explosa littéralement en millier de petits morceaux à travers la pièce. Tout le monde du se protéger le visage.
Une étrange sensation se répandit à travers la base et bien au-delà…
Quant Sam ouvrit les yeux la première chose qu’elle vit se fut la bague qu’elle portait à l’annulaire gauche. Puis elle vit sa fille étendue sur le sol.
Les innombrables morceaux jaunes, répandus sur le sol, se mirent à fondre comme de la glace et "l’eau" fut comme absorber par le sol, ne laissant plus aucune trace.
Daniel se dirigea vers sa femme visiblement encore perdue
Il ne lui laissa pas finir et l’embrassa. Elle répondit à son baiser.
K’lyn et Natalia s’approchèrent de l’un et l’autre. Il posèrent les paumes de leurs mains contre celle de l’autre.
- Hel Tel Mah ( Bonjours mon amour ).
- Bonjours mon amour (Ndlt : En russe dans le texte).
Les deux O’Neill se précipitèrent sur leur fille.
- Rachel ? Est-ce que tu m’entends, ma chérie ?
- Ma…maman ? Murmura-t-elle.
Elle entrouvrit les yeux :
- Où suis je ?
- A la maison.
Jack retira sa veste pour couvrir sa fille.
- Que… qu’est ce qui se passe ?
- Nous t’expliquerons plus tard. Nous avons tout le temps.
- Oui, car maintenant tout va pouvoir recommencer…
Elle sourit…
Fin de l’épisode.